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Espace post-soviétique (URSS)

Statues de Lénine, faucille et marteau, la Transnistrie semble être un vestige de l'Union Soviétique enclavé entre la Moldavie et l'Ukraine. Pourtant peu d'informations filtrent de ce pays autoproclamé et non reconnu ... Lumière sur la République Moldave du Dniestr, la Transnistrie


Lumière sur la République Moldave du Dniestr, la Transnistrie
Approche historique rapide de la situation en Transnistrie depuis 1989

La Transnistrie, officiellement dénommée République moldave du Dniestr , Etat non reconnu par la communauté internationale (y compris la Russie) et dont les territoires sont revendiqués par la Moldavie. La capitale de cet État « de facto » est Tiraspol. Superficie : 4 163 km2, population (2004) : 555.500 habitants (518.000 estimés en 2010), langue(s) moldave, russe, ukrainien , composition ethnique : 32.1% Moldaves, 30.4% Russes, 28.8% Ukrainiens.

D'un point de vue géographique, la Transnistrie ou Pridniestrovie, se situe entre l'Ukraine et la Moldavie, à l'est du Dniestr. Les problèmes commencent avec la déliquescence de l'Union Soviétique, ou l'ancienne province de Bessarabie, devenue RSS de Moldavie connait, elle aussi, des problèmes ethniques comme dans le Caucase ou l'armée à du jouer le rôle d'arbitre.

Depuis 1989 la RSS de Moldavie a réintroduit l'alphabet latin inquiétant les minorités russo-ukrainiennes et en 1990 le roumain est réintroduit comme langue officielle. Les 28% de russophones se sentent menacé, comme dans les pays baltes, face à la progression des revendications nationalistes. Ces populations sont majoritairement installés à l'est du Dniepr et décident de fonder et de proclamer le 2 septembre 1990, la « République socialiste soviétique moldave du Dniestr » et demande son rattachement à la RSFSR. Avec la disparition de l'URSS la Transnistrie demande a devenir un oblast de la FR comme l'est Kaliningrad.

Un conflit éclate entre la RSS de Moldavie et la Transnistrie, si bien que la XIVème armée soviétique doit intervenir pour rétablir le statut quo. Avec la disparition de l'URSS la « République socialiste soviétique moldave du Dniestr » devient la « République moldave du Dniestr » et sahs rennoncer officiellement au socialisme, le virage libéral de l'économie est lancé. En décembre 1991 lors d'un réferendum l'indépendance de ce territoire est voté, aboutissant à la reprise des conflits avec la Moldavie (ex-RSS).

On ne dénombrera pas moins de 700 morts lors de la guerre civile de 1991-92. Chisinau décide, en mars 1992, de récupérer la Transnistrie par la force et lance une attaque contre Tiraspol, une opération insensée dans la mesure où la XIVème Armée de la Fédération de Russie, commandée par le Général Alexandre Lebed, est stationnée à Tiraspol et va, en toute logique, défendre sa base. L'échec de l'action moldave débouche, en juillet, sur un cessez-le-feu et le déploiement de forces d'interposition de la Communauté des États Indépendants. Le président russe Boris Eltsine et son homologue moldave Mircea Snegur signent un accord stipulant que la province de Transnistrie bénéficiera d'un statut particulier ainsi que le droit à l'autodétermination dans le cas où la Moldavie fusionnerait avec la Roumanie. L'accord autorise également la présence des forces d'interposition le long du Dniestr, garantissant une zone de sécurité.

L'omniprésence russe dès le début du conflit en Transnistrie est tout à fait révélatrice de la politique menée par Moscou. La Russie profiterait du conflit pour assurer sa présence militaire dans cette région stratégique.

L'accord n'a jamais été validé par la Transnistrie, même lorsque la Moldavie passe sous la gestion de Vladimir Voronine et du Parti des Communistes de la République de Moldavie. En septembre 2007, un référendum d'autodétermination donne 97,1% de voix en faveur du rattachement à la Russie.

Depuis la situation diplomatique entre la Moldavie et la Transnistrie est bloquée. D'autant plus que 1200 soldats russes sont toujours en poste à Tiraspol.

Lumière sur la République Moldave du Dniestr, la Transnistrie
Septembre 1990. : la Transnistrie fait sécession.

1991 Début de la guerre civile en août : Kichinev devient Chisinau. En décembre : le " oui " l'emporte au référendum pour l'indépendance en République Moldave de Transnistrie.

Mars 1992 : la Moldavie lance une attaque contre Tiraspol. En juillet. : accord russo-moldave sur la Transnistrie. Les premières unités des forces d'interposition arrivent en RMT. Création de la Commission de contrôle unifiée en Transnistrie.

28 juillet 1994 : nouvelle constitution moldave. Le 10 octobre 1994. : accord russo-moldave sur le retrait des 10.000 soldats russes de la XIVème armée sauf 1200 pour le maintient de la paix.

26 mars 1995 : le " oui " l'emporte au référendum pour le maintien des troupes russes en Transnistrie.

1 décembre 1996. : élection de Piotr Lutchinski en Moldavie. Réélection de Smirnov Président de la RMT.

8 mai 1997: signature d'un mémorandum entre RMT et Moldavie pour normaliser leurs relations

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La situation économique et sociale en RMT est déplorable

L'économie est délaissée depuis 1991, laissant place à un dénuement, avec des salaires moyens qui ne dépassent pas les 115 euros par mois , des cartes de rationnement, des files d'attente, environ 20% des jeunes entre 18-25 ans sont au chômage. La Transnistrie est devenue une des régions les plus pauvres d'Europe après avoir été, pendant la période soviétique, une zone de forte activité industrielle. Aujourd'hui, le chômage est important.

En 1990, 40% du PNB total de la Moldavie était assuré par la République moldave du Dniestr sur le territoire de laquelle se trouvaient la plupart des industries moldaves. Cette situation est toujours d'actualité en 2010 mais la République moldave du Dniestr, enclavée, doit faire transiter ses marchandises par l'Ukraine ou, plus rarement, la Moldavie.

L'héritage soviétique, la formation des institutions, le rythme des réformes diffèrent sensiblement de ce que l’on observe en Moldavie. Tiraspol bénéficiait en 1991 de conditions plus favorables que Chisinau en matière de transports (ferroviaire, routier et fluvial), de ressources hydrauliques ou industrielles. Elle aurait probablement eu beaucoup à perdre en cas de passage rapide à l’économie de marché, puisque ses grands combinats n’auraient pas résisté à la concurrence mondiale.

Forte de ces acquis, elle s’est ensuite dotée d’instruments économiques propres : une monnaie (le rouble transnistrien), une banque centrale, un système juridique, un système bancaire, un régime commercial, un code de la propriété, un organisme statistique, etc. Les réformes ne se sont pas déroulées au même rythme qu’en Moldavie : c’est seulement en 2002 par exemple qu’a été engagé le processus de privatisation des entreprises publiques. Cette petite économie ouverte repose sur une quinzaine d’entreprises (Moldavizolit, Tighina et Moldavkabel − matériel électrique −, Elektromach − électricité −, Floare − chaussures −, Tirotex et Odema − textile −, Sheriff − chaîne de super-marchés, stations-services et autres diverses activités, MMZ de Rybnitsa − métallurgie −, etc.) qui réalisent environ 70 % des exportations.

Les roubles circulent par millions en liasses de 100, l'inflation galopante leur a ôté toute valeur, la chute est constante. On s'accroche pourtant à ce symbole absolu de souveraineté. Il est souvent difficile de convaincre les commerçants d'accepter le rouble transnistrien. Le leu moldave est omniprésent et a l'avantage d'être stable. La population accepte aussi volontiers les dollars et les roubles russes.

Parmi les principales entreprises du pays : Tirotex, deuxième entreprise textile d'Europe est un héritage soviétique. Cette entreprise emploie 6100 salariés et est le principal employeur de main-d'œuvre féminine du pays. Elle s'est considérablement modernisée avec des machines-outils allemandes et chinoises et traite l'ensemble de la chaîne textile, de la fibre jusqu'au vêtement fini. Cette modernisation et le faible coût de la main-d'œuvre lui permet d'être compétitive en Europe, où elle écoule une grande partie de ses produits, face aux produits chinois ou du Maghreb. Faute de reconnaissance officielle du pays, ses produits sont étiquetés Made in Moldova.

L'autre grande entreprise de la République moldave du Dniestr est le groupe Sheriff, créé par Viktor Gouchane (Ukrainien de RMD) et Ilya Kazmaly (Russe d'origine gagaouze), tous deux anciens officiers des services de renseignement soviétiques. Le groupe possède une chaîne de supermarchés, des usines agro-alimentaires, le principal réseau de station-service, des concessions automobiles, une agence de publicité, une chaîne de télévision, un opérateur de téléphonie mobile, etc. Il est également propriétaire de l'équipe de football de Tiraspol et a construit en 2000 un complexe sportif de plus de 200 millions de dollars. Le groupe Sheriff est un des principaux appuis économiques de l'ancien président Smirnov dont le fils, Oleg Smirnov est l'un des dirigeants. Il bénéficie d'avantages tels des réductions de taxes d'import-export.

La RMT bénéficie d'investissements russes substantiels et aujourd'hui elle est plus industrialisée et plus moderne que sa voisine la Moldavie.

L'actuel plus grand partenaire économique de la République moldave du Dniestr est toujours la Russie qui maintient le pays sous perfusion afin de bénéficier dans la région, entre Moldavie et Ukraine, et près des frontières orientales de l'Union Européenne et de l'OTAN, d'une « tête de pont » marquant sa zone d'influence exclusive : des usines Gazprom sont d'ailleurs implantées dans le pays.

En 2008, la Russie a livré 2,7 milliards de m3 de gaz aux consommateurs moldaves. Aux termes des contrats entre Gazprom et MoldovaGaz, approuvés en juin dernier par les actionnaires du géant gazier russe, les livraisons de gaz en 2010 ne dépasseront pas 3,9 milliards de m3. Le paiement versé par MoldovaGaz sera limité à 1,33 milliard de dollars.
Au premier semestre de 2006, le prix du gaz russe pour la Moldavie a été fixé à 110 dollars les 1.000 m3. Il a été porté à 160 dollars à partir du deuxième semestre de 2006 et a atteint 170 dollars en 2007.

Enfin, la Russie apporte un soutien économique à la Transnistrie. Les industries s’appuient sur des subventions masquées, notamment en matière énergétique via Gazprom. Les investissements russes se sont par ailleurs accélérés avec la vague de privatisation qui a commencé en 2002. Moscou a aussi exercé des pressions sur la Moldavie en introduisant des restrictions sur les exportations de fruits et de vin.

Le produit intérieur brut s'est effondré. De nombreuses usines ont fermées et des pans entiers de l'industrie ont disparu. Il ya des décennies, que l'agriculture et l'agroalimentaire ont été déstructuré, ce qui a abouti à la perte de l'indépendance alimentaire du pays. Augmentant considérablement la dette extérieure. Les destructions économiques ont aussi touché le domaine social, la science, l'éducation et la culture. Les décès ont dépassé celui des naissances. Pendant ce temps, la population de la RMT a diminué par le départ de centaines de milliers de migrants. Le taux de chômage, la pauvreté, l'injustice ont forcé des dizaines de milliers de citoyens de la république a chercher une vie meilleurs dans un autre pays.

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Crime organisé et corruption généralisée ?

Le crime organisé est extrêmement présent en Transnistrie, corridor vers l'Europe occidentale pour les exportations illégales. La RMT est également souvent montrée du doigt pour sa corruption généralisée. Alexandre Lebed parlait d'une "clique mafieuse et totalement corrompue".

L’absence d’un véritable Etat de droit, la détérioration des résultats économiques et l’essor des activités informelles contribuent à la formation d’un « capitalisme de contrebande ». Plus qu’au du trafic d’armes souvent évoqué, la contrebande est liée à la réexportation vers la Moldavie de produits importés d’Ukraine avec de faibles tarifs douaniers : l’essence, les cigarettes, l’alcool, la nourriture et les produits pharmaceutiques. La firme Sheriff, qui détient de nombreux monopoles de fait en Transnistrie à travers son réseau de distribution, est souvent désignée comme l’une des principales bénéficiaires de cette situation.

Un autre point est à soulever quant au fonctionnement politique de la République, celui du Ministère de la Sécurité d'Etat. Crée en 1992, souvent comparé au KGB, il dispose de pouvoirs illimités dans la région. Le Ministère compterait parmi ses "employés" d'anciens membres du KGB ou encore des personnes recherchées pour crimes dans l'ex-URSS et résidant en RMT sous un nom d'emprunt.

Corruption, contrebande, mafia, intimidations, assassinats : le Ministère serait impliqué, relayé à l'occasion par l'agence Bezopasnost (Sécurité) qu'il contrôle.

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Les évolutions politiques internes : Le départ du président Igor Smirnov

La vie politique locale reste marquée par la figure d’Igor Smirnov. Arrivé de Sibérie en 1986, il a été « élu » à plusieurs reprises depuis l’indépendance, avec une très large avance. Des cas de fraudes sont avérés, et les élections ne sont pas reconnues par l’OSCE, malgré la participation à la surveillance du scrutin d’organisations de la CEI. Autre personne clé du régime, le ministre de la sécurité intérieure, en place depuis l’indépendance, Vladimir Antiufeev, est recherché par Interpol pour crime de guerre en Lettonie. Néanmoins, on a pu assister à une rotation des élites, certes limitée.

La Transnistrie essaie depuis peu de montrer un autre visage, plus « démocratique ». Ainsi, lors des élections de décembre 2005, le président du Parlement Grigori Marakuta, a été remplacé par le jeune Evgueni Chevtchouk (né en 1968). Ce dernier appartient au parti d’opposition, « Renouveau », qui représente plutôt les intérêts oligarchiques de Transnistrie alors qu’Igor Smirnov est très lié aux intérêts oligarchiques russes.

Ainsi, le régime de Tiraspol peut être considéré au mieux comme un « autoritarisme concurrentiel ». Le pouvoir n’est pas réellement contraint par sa population, mais s’est doté des apparences d’une démocratie représentative. L’ouverture actuelle semble donc n’être que relative, tolérant tout au plus des « dissidents dans le système ».

Lors des élections présidentielles de décembre 2011, l'ancien président du parlement de Transnistrie, Evgueni Chevtchouk, est arrivé en tête de l'élection présidentielle avec 38, 53% des suffrages exprimés, suivi par Anatoli Kaminski (26,48%). Le président sortant Igor Smirnov n'a recueilli que 24,82% des voix. Dans le premier tout de la présidentielle en Transnistrie s’est produit ce que prédisaient avec assurance les sociologues indépendants. Selon les résultats préliminaires, le président sortant de la RMT Igor Smirnov a été éliminé dès le premier tour. La population de Transnistrie est objectivement fatiguée de la politique de gestion de Smirnov basée sur le népotisme, l’opacité financière et la restriction des libertés civiques.

Igor Smirnov est resté au pouvoir pendant quatre mandats consécutifs et semblait réellement indéboulonnable. La population active continue de quitter de cette région industrielle d’ex-URSS, très puissante à une époque. Pratiquement toute la vie économique de la république était contrôlée par le clan familial Smirnov.

Les observateurs aussi bien en Transnistrie qu’en dehors de la république estiment que les tentatives du président sortant pour contester les résultats du premier tout sont avant tout associés aux négociations sur les garanties d'immuabilité des résultats de la privatisation (qui profite largement aux hommes d’affaires proches de la famille Smirnov).

Evgueni Chevtchouk a recueilli 73,88% des voix et est devenu le second président de la Transnistrie, ce nouveau président ne menace en rien les intérêts de Moscou, ni ceux des investisseurs russes attirés par une main-d'œuvre bon marché.

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Un vestige de l'Union Soviétique ?

«Qui suis-je ? Il paraît que je suis transnistrien… En réalité, ma patrie, c’était l’Union soviétique. Ici, c’est juste une filiale de la Russie.»

A Tiraspol, la statue de Lénine face au Soviet suprême, le drapeau du pays encore marqué de la faucille et du marteau et les larges avenues font dire aux étrangers que la Transnistrie est une petite URSS. Pourtant le pays est une véritable Russie miniature : ici et là on remarque les portraits de Vladimir Poutine ou de Dmitri Medvedev et des affiches de propagande célébrant la bataille menée par les Russes en Géorgie. La grande majorité de la population vit à l’heure de Moscou. C’est du Kremlin qu’arrive le chèque pour payer les fonctionnaires et les retraités. C’est encore Moscou qui offre gaz et pétrole à bas prix pour garantir la paix sociale.

Les autorités de Transnistrie n'ont pas réussi à préserver ce que le peuple à défendu aussi en 1992 un niveau de vie élevé et une vie meilleurs pour les enfants. Ils ont détruit et pillé les richesses issues de l'industrie et de l'agriculture, les transports, les communications et bien d'autres secteurs vitaux de l'économie. Le taux de chômage a atteint des proportions catastrophiques. La crise économique dans le pays est quotidienne depuis de nombreuses années.

Le pouvoir réel dans le pays est complètement concentré entre les mains d'un petit nombre de responsables gouvernementaux. Ils ont enlevé le contrôle étatique des moyens de production, et ont substitué au droit du travail, l'éducation, au droit à des soins , à une vie décente, à la retraite, à la sécurité, le travail forcé, le chômage, la pauvreté, et l'injustice.
Ce qui c'est passé c'est l'instauration d'une société capitaliste dans sa forme la plus brutale. Ils ont crée des conditions favorables pour l'enrichissement d'un petit nombre et permis la paupérisation de la majorité absolue de la population. L'appauvrissement de la majorité de la population dans un contexte d'enrichissement rapide de quelques familles, de chefs d'entreprise, grâce au gouvernement.

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Existe t-il un Parti Communiste en Transnistrie ?

Le Parti Communiste de Transnistrie (PKP) est un parti marxiste léniniste, successeur officiel de la branche local du PCUS, fondé en 1990. Le secrétaire général du PKP est Oleg Khozhan (35 ans ancien secrétaire des komsomols).

Il est membre de l'UPC-PCUS (organisation qui rassemble les principaux PC d'ex-URSS comme le KPRF en Russie, le KPU en Ukraine). Il édite la Pravda de Transnistrie. En décembre 2010 le PKP entre au soviet suprême de la RMT. Oleg Khozhan a été plusieurs fois arrêté du fait de son opposition au système.

Aux présidentielles de décembre 2011 le PKP a obtenu 5,13% des voix.

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