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SENEGAL-PRESSE-REVUE


Rédigé le Jeudi 29 Septembre 2016 à 13:27 | Lu 45 fois | 0 commentaire(s)


L’inculpation de Wally Seck en exergue


L’inculpation et le placement sous contrôle judiciaire du chanteur Wally Seck, est l’un des sujets majeurs évoqués par la livraison de jeudi de la presse quotidienne. Wally Seck, un des artistes les plus en vue de la jeune génération, "est poursuivi pour association de malfaiteurs, escroquerie, faux et usage de faux", explique L’Observateur. Il a nié les faits qui lui sont reprochés mais son passeport a été confisqué par le juge, selon le journal. "La grève du Syndicat des travailleurs de la justice (SYTJUST) n’a pas impacté le travail du juge", commente L’Observateur. Alors que beaucoup s’attendaient au renvoi de l’audience de comparution du chanteur, "Yakham Lèye a fait le job".Le journal Le Quotidien précise que Wally Seck est poursuivi "dans le cadre de la vente présumée frauduleuse d’une Range Rover". Le chanteur n’a toutefois "pas encore été entendu dans le fond", si l’on en croit Le Populaire. Il cite Me Abdou Dialy Kane, l’avocat du chanteur, selon lequel le passeport de son client n’a pas été confisqué, mais il doit "venir émarger sur le registre de contrôle judiciaire tous les mois. C’est-à-dire que chaque mois, il doit se rendre dans le cabinet du juge pour émarger".Wally Seck "encourt jusqu’à 5 ans fermes", pour cette histoire "Range Rover volée" qui lui a valu son inculpation. La voiture en question a été "frauduleusement mise en circulation", note de son côté Le Témoin quotidien, qui parle de Wally Seck comme "le jeune chanteur chouchou des midinettes sénégalaises"."Une famille d’inculpés", relève Libération, en allusion à Thione Seck, le père, Seydina et Wally, ses enfants, "tous les trois, mis en examen par le même juge, Yakham Lèye, dans des affaires différentes, mais pour le même chef d’inculpation : association de malfaiteurs". D’autres quotidiens, parmi lesquels L’As, s’intéressent au projet de Train express régional (TER) devant relier Dakar à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass (AIBD), pour le financement duquel la Banque islamique de développement (BID) a accordé 211 milliards de francs CFA au Sénégal."C’est la rondelette somme que la Banque islamique de développement (BID) a octroyée au Sénégal, hier (mercredi), à la suite de la signature, à Djeddah, des accords de financement du Train express régional et du PALAM II", rapporte le même journal. "La BID accorde 211 milliards de FCFA" au Sénégal pour le financement du TER et de la phase 2 du PALAM, le Programme d’alphabétisation et d’apprentissage de métiers pour la lutte contre la pauvreté, indique Le Soleil. Ce journal se fait par ailleurs l’écho du dernier Conseil des ministres, au cours duquel le chef de l’Etat, Macky Sall, a souligné "la nécessité d’une réflexion sur les longues détentions provisoires"."Les remèdes de Mack (Sall)" concernant les longues détentions et la surpopulation carcérale, affiche le quotidien Enquête. "Absent du territoire national au moment de la mutinerie de Rebeuss du 20 septembre dernier, qui a vu la mort du détenu Ibrahima Mbow, le chef de l’Etat a profité hier du Conseil des ministres pour aborder la question", avance le journal. "Le chef de l’Etat a rappelé au gouvernement +ses directives relatives à l’accélération de la construction d’une nouvelle maison d’arrêt à Sébikhotane, à la réhabilitation de tous les lieux de détention, et à l’amélioration continue des conditions de séjour carcéral des détenus, dans le respect des normes nationales et internationales requises en la matière+", ajoute Enquête.





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