Les manifestations allant contre le gouvernement Cubain ont commencé dans la matinée du dimanche 11 juillet de façon fringante. Cet évènement très rare dans ce petit pays gouverné par le Parti communiste (PCC), un parti unique, où les seules agglutinations confirmées sont uniquement ceux du PCC. Une quarantaine de antigouvernement, répandus sur tout le territoire, ont été dénombrées dimanche.
La crise économique frappe Cuba depuis plusieurs années et aujourd’hui, cette situation est devenue accablante pour la population. Fatiguée du manque de nourriture, les coupures intempestives d’énergie électrique sans oublier le manque de médicaments, elle sort dans les rues pour manifester sa colère. Le gouvernement s’est déclaré prêt pour défendre ses principes.
Des altercations ont éclaté notamment à La Havane entre les forces de l’ordre et la population. Ces derniers ont eu à user des gaz lacrymogènes, tiré des coups de feu en l’air avec leurs armes et utiliser dans le même cas des tuyaux en plastique pour frapper des populations. Des véhicules de la police ont été endommagés et certains renversés par les manifestants en colère. Plusieurs d’entre eux ont été arrêtés et mis sous détention. Des forces de l’ordre ont été déployées dans la capitale Cubaine et dans plusieurs villes.
Le Président Miguel Diaz-Canel ne s’attendant pas à de telles manifestations, surtout dans la capitale, il a fait appel à ses partisans de riposter dans les rues de la capitale. Il accuse la mafia Cubano- Américaine d’être les instigateurs de ce soulèvement. « Je fais appel à tous les communistes, tous les révolutionnaires du pays, à sortir dans les rues où vont se produire toutes ces incitations, dès maintenant ainsi que dans les jours à venir. » a-t-il déclaré.
Le Président Miguel Diaz-Canel reconnaît les difficultés soulevées par la population. Cependant, il accuse Washington d’être à la tête de ces conspirations contre son État et sa gouvernance.
Depuis le mandat de Donald Trump, les relations diplomatiques entre Cuba et les USA ont été détériorées après plus de deux ans d'accalmie.
Ces soulèvements sont apparues le jour où le Cuba a dénombré 6 900 cas de Covid-19. Dans un pays où il manque cruellement de soins médicaux, la population lance des SOS qui se renforcent sur les réseaux sociaux, tout comme les cris d’âme lancés au gouvernement pour qu’il facilite l’envoi et la réception de dons venant d’ailleurs.
La crise économique frappe Cuba depuis plusieurs années et aujourd’hui, cette situation est devenue accablante pour la population. Fatiguée du manque de nourriture, les coupures intempestives d’énergie électrique sans oublier le manque de médicaments, elle sort dans les rues pour manifester sa colère. Le gouvernement s’est déclaré prêt pour défendre ses principes.
Des altercations ont éclaté notamment à La Havane entre les forces de l’ordre et la population. Ces derniers ont eu à user des gaz lacrymogènes, tiré des coups de feu en l’air avec leurs armes et utiliser dans le même cas des tuyaux en plastique pour frapper des populations. Des véhicules de la police ont été endommagés et certains renversés par les manifestants en colère. Plusieurs d’entre eux ont été arrêtés et mis sous détention. Des forces de l’ordre ont été déployées dans la capitale Cubaine et dans plusieurs villes.
Le Président Miguel Diaz-Canel ne s’attendant pas à de telles manifestations, surtout dans la capitale, il a fait appel à ses partisans de riposter dans les rues de la capitale. Il accuse la mafia Cubano- Américaine d’être les instigateurs de ce soulèvement. « Je fais appel à tous les communistes, tous les révolutionnaires du pays, à sortir dans les rues où vont se produire toutes ces incitations, dès maintenant ainsi que dans les jours à venir. » a-t-il déclaré.
Le Président Miguel Diaz-Canel reconnaît les difficultés soulevées par la population. Cependant, il accuse Washington d’être à la tête de ces conspirations contre son État et sa gouvernance.
Depuis le mandat de Donald Trump, les relations diplomatiques entre Cuba et les USA ont été détériorées après plus de deux ans d'accalmie.
Ces soulèvements sont apparues le jour où le Cuba a dénombré 6 900 cas de Covid-19. Dans un pays où il manque cruellement de soins médicaux, la population lance des SOS qui se renforcent sur les réseaux sociaux, tout comme les cris d’âme lancés au gouvernement pour qu’il facilite l’envoi et la réception de dons venant d’ailleurs.