"On a signé un protocole d'accord pour mener une concertation sur la permanence des soins, avec une date butoir fixée au 31 mars", a indiqué M. Pelloux.
Les urgentistes avaient entamé il y a plus de six semaines une grève des gardes, et avaient ensuite été rejoints par des anesthésistes hospitaliers, pour revendiquer notamment une meilleure rémunération des gardes et des heures supplémentaires impayées.
Le protocole d'accord, dont l'AFP a obtenu une copie, prévoit la "suspension sans délai" du mouvement de grève, le ministère de la Santé s'engageant en contrepartie à ouvrir une concertation sur trois thèmes: "le décompte du temps de travail", "la pénibilité du travail et les conditions de valorisation et de reconnaissance du temps de travail" lors des gardes.
Le texte prévoit "un aboutissement pour la fin du premier trimestre 2008".
Ce mouvement était sans conséquences pour les patients car les médecins sont "assignés" et travaillent tout en se déclarant grévistes.
Outre l'Amuf, les autres signataires sont le SNPHAR (anesthésistes hospitaliers), le SMARNU (anesthésistes non universitaires), le Samu de France et le SYMHOSPRIV (médecins des établissements privés).
Les urgentistes avaient entamé il y a plus de six semaines une grève des gardes, et avaient ensuite été rejoints par des anesthésistes hospitaliers, pour revendiquer notamment une meilleure rémunération des gardes et des heures supplémentaires impayées.
Le protocole d'accord, dont l'AFP a obtenu une copie, prévoit la "suspension sans délai" du mouvement de grève, le ministère de la Santé s'engageant en contrepartie à ouvrir une concertation sur trois thèmes: "le décompte du temps de travail", "la pénibilité du travail et les conditions de valorisation et de reconnaissance du temps de travail" lors des gardes.
Le texte prévoit "un aboutissement pour la fin du premier trimestre 2008".
Ce mouvement était sans conséquences pour les patients car les médecins sont "assignés" et travaillent tout en se déclarant grévistes.
Outre l'Amuf, les autres signataires sont le SNPHAR (anesthésistes hospitaliers), le SMARNU (anesthésistes non universitaires), le Samu de France et le SYMHOSPRIV (médecins des établissements privés).