"Au jour où nous parlons, sur les 20 décisions fondamentales du rapport, 17 sont en cours de mise en oeuvre", a-t-il déclaré après un entretien avec le président Nicolas Sarkozy. "Sur les 316 décisions du rapport, 213 sont en cours de mise en oeuvre, ça veut dire à peu près les deux tiers - 136 sont totalement mises en oeuvre, le reste est en cours de préparation."
"Le fait qu'au bout de cinq mois les deux tiers de ce rapport soient en cours d'application, tant par le gouvernement que par le parlement, est une véritable marque de ce que notre travail a été pris au sérieux", a-t-il ajouté. "Nous avons convenu qu'il s'agissait maintenant de continuer."
La publication de ce rapport, il y a six mois, avait provoqué l'ire des chauffeurs de taxi, objet d'une de ses 316 propositions, et d'une partie des parlementaires de l'UMP, furieux de l'importance donnée par Nicolas Sarkozy à des travaux conduits par l'ancien "sherpa" d'un président socialiste.
Certains de ces parlementaires ont même voulu voir dans ce rapport et dans la prétention affichée par Jacques Attali de le voir appliqué dans sa globalité une des causes du fiasco de la droite aux élections municipales et cantonales de mars.
Le chef de l'Etat s'était engagé le 23 janvier à revoir les membres de la commission Attali six mois après la remise de leur rapport pour faire le point sur sa mise en oeuvre.
Promesse tenue vendredi : le chef de l'Etat a reçu les principaux membres de la commission et des parlementaires pendant plus d'une heure en fin de matinée.
Selon Jacques Attali, Nicolas Sarkozy souhaite revoir les membres de la commission en septembre.
Il a estimé que la réunion de vendredi montrait que son rapport n'avait pas été "jeté aux orties".
"Non seulement sur les taxis nos propositions ont été prises en compte mais sur des sujets infiniment plus importants (...) les propositions que nous avons faites sont maintenant un des axes, sinon l'axe essentiel qui va structurer l'ensemble des réformes", a-t-il fait valoir.
Jacques Attali s'est dit convaincu que le reste des propositions du rapport finiraient aussi par être mises en oeuvre, sauf deux ou trois difficiles à appliquer en raison de la conjoncture économique.
Il a cité parmi celles-ci le basculement des charges sociales sur la TVA, "plus difficile en période d'inflation"
Source: Yahoo News
"Le fait qu'au bout de cinq mois les deux tiers de ce rapport soient en cours d'application, tant par le gouvernement que par le parlement, est une véritable marque de ce que notre travail a été pris au sérieux", a-t-il ajouté. "Nous avons convenu qu'il s'agissait maintenant de continuer."
La publication de ce rapport, il y a six mois, avait provoqué l'ire des chauffeurs de taxi, objet d'une de ses 316 propositions, et d'une partie des parlementaires de l'UMP, furieux de l'importance donnée par Nicolas Sarkozy à des travaux conduits par l'ancien "sherpa" d'un président socialiste.
Certains de ces parlementaires ont même voulu voir dans ce rapport et dans la prétention affichée par Jacques Attali de le voir appliqué dans sa globalité une des causes du fiasco de la droite aux élections municipales et cantonales de mars.
Le chef de l'Etat s'était engagé le 23 janvier à revoir les membres de la commission Attali six mois après la remise de leur rapport pour faire le point sur sa mise en oeuvre.
Promesse tenue vendredi : le chef de l'Etat a reçu les principaux membres de la commission et des parlementaires pendant plus d'une heure en fin de matinée.
Selon Jacques Attali, Nicolas Sarkozy souhaite revoir les membres de la commission en septembre.
Il a estimé que la réunion de vendredi montrait que son rapport n'avait pas été "jeté aux orties".
"Non seulement sur les taxis nos propositions ont été prises en compte mais sur des sujets infiniment plus importants (...) les propositions que nous avons faites sont maintenant un des axes, sinon l'axe essentiel qui va structurer l'ensemble des réformes", a-t-il fait valoir.
Jacques Attali s'est dit convaincu que le reste des propositions du rapport finiraient aussi par être mises en oeuvre, sauf deux ou trois difficiles à appliquer en raison de la conjoncture économique.
Il a cité parmi celles-ci le basculement des charges sociales sur la TVA, "plus difficile en période d'inflation"
Source: Yahoo News