Un père est soupçonné d'avoir tué ses trois enfants, deux garçons et une fille âgés de trois à sept ans, avant de tenter de se suicider vendredi matin à Bornel (Oise), à environ 35 km de Beauvais.
Le père de famille aurait tué pour des raisons encore inconnues ses trois enfants à l'arme blanche avant de tenter de se suicider, a-t-il ajouté, sans plus de précisions.
"J'ai été prévenu par un adjoint qui habite dans le même immeuble et qui avait entendu des cris", a déclaré à l'AFP Yvan Levasseur, maire de la commune, qui s'est rendu sur place "vers 05H30-06H00".
"Les pompiers sont arrivés devant moi. J'ai vu le père de famille sur le parking de la résidence, où il a apparemment tenté de se suicider en s'égorgeant ou en se coupant l'artère fémorale", a ajouté M. Levasseur.
"Actuellement, personne ne peut sortir du parking ou s'y rendre, les gendarmes y cherchent des indices", a-t-il précisé.
"La scène devait être horrible, j'ai entendu un officier de gendarmerie interdire à certains gendarmes d'entrer dans le logement à cause de cela", a-t-il conclu.
Selon M. Levasseur, la famille était arrivée d'une commune voisine à Bornel il y a environ un an et habitait au dernier étage d'une petite résidence de trois étages.
Source: http://fr.news.yahoo.com
Le père de famille aurait tué pour des raisons encore inconnues ses trois enfants à l'arme blanche avant de tenter de se suicider, a-t-il ajouté, sans plus de précisions.
"J'ai été prévenu par un adjoint qui habite dans le même immeuble et qui avait entendu des cris", a déclaré à l'AFP Yvan Levasseur, maire de la commune, qui s'est rendu sur place "vers 05H30-06H00".
"Les pompiers sont arrivés devant moi. J'ai vu le père de famille sur le parking de la résidence, où il a apparemment tenté de se suicider en s'égorgeant ou en se coupant l'artère fémorale", a ajouté M. Levasseur.
"Actuellement, personne ne peut sortir du parking ou s'y rendre, les gendarmes y cherchent des indices", a-t-il précisé.
"La scène devait être horrible, j'ai entendu un officier de gendarmerie interdire à certains gendarmes d'entrer dans le logement à cause de cela", a-t-il conclu.
Selon M. Levasseur, la famille était arrivée d'une commune voisine à Bornel il y a environ un an et habitait au dernier étage d'une petite résidence de trois étages.
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