"On n'en parle même pas", a liquidé au cours d'une émission télévisée Gianfranco Fini, chef d'Alliance Nationale (AN, droite conservatrice), deuxième parti de la droite italienne derrière Forza Italia, la formation de M. Berlusconi.
Critiquant le mode "confus et plébiscitaire" de l'annonce de la création du nouveau parti qui voudrait rassembler tous les opposants à l'union de la gauche dirigée par Romano Prodi, M. Fini a assuré qu'"AN ne se dissoudra certainement pas" pour y entrer.
M. Berlusconi a annoncé dimanche qu'il allait créer une nouvelle formation, le "Parti du peuple italien pour les libertés", dans laquelle se fondra son parti, Forza Italia, exprimant l'espoir que "tout le monde adhèrera, sans exclure personne".
M. Berlusconi est de plus en plus contesté par ses partenaires car il avait assuré que le gouvernement Prodi chuterait lors du vote du budget 2008 au Sénat, un pari qu'il a perdu jeudi. Ses alliés ont décidé de cesser d'attendre la chute de la gauche et de traiter avec le gouvernement Prodi sur les réformes institutionnelles, en premier lieu la loi électorale.
Critiquant le mode "confus et plébiscitaire" de l'annonce de la création du nouveau parti qui voudrait rassembler tous les opposants à l'union de la gauche dirigée par Romano Prodi, M. Fini a assuré qu'"AN ne se dissoudra certainement pas" pour y entrer.
M. Berlusconi a annoncé dimanche qu'il allait créer une nouvelle formation, le "Parti du peuple italien pour les libertés", dans laquelle se fondra son parti, Forza Italia, exprimant l'espoir que "tout le monde adhèrera, sans exclure personne".
M. Berlusconi est de plus en plus contesté par ses partenaires car il avait assuré que le gouvernement Prodi chuterait lors du vote du budget 2008 au Sénat, un pari qu'il a perdu jeudi. Ses alliés ont décidé de cesser d'attendre la chute de la gauche et de traiter avec le gouvernement Prodi sur les réformes institutionnelles, en premier lieu la loi électorale.