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30/08/2011 13:07

Monde: palpation des seins des hôtesses de l'air

Monde: palpation des seins des hôtesses de l'air; Pour recruter de nouvelles hôtesses de l'air, ils leur palpent les seins; L'urbanisation grimpe en Afrique; Une nounou torturée par les Kadhafi témoigne.



Notre revue de presse monde du 30 Août 2011

Pour recruter de nouvelles hôtesses de l'air, ils leur palpent les seins
Plusieurs jeunes filles désireuses de devenir hôtesse de l'air viennent de pointer du doigt les méthodes de recrutement pour le moins fantaisistes de la compagnie aérienne et ont accusé certains responsables d'avoir procédé à des palpations de leur poitrine afin de détecter d'éventuels implants. Il semble en effet que certains ont réinventé le jeu du "docteur", obligeant les demoiselles à se dévêtir et à subir des "examens médicaux" un peu poussés. Le but de ces attouchements ? Avant tout de détecter des tatouages même cachés qui sont formellement interdits pour les personnels de cabines, mais aussi de vérifier que les candidates n'avaient pas eu recours à la pose d'implants mammaires. (www.lepost.fr) Pourquoi interdire les implants mammaires aux hôtesses alors que rien n'est interdit aux passagères?

L'urbanisation grimpe en Afrique
Au XXe siècle, l'exode rural était essentiellement étudié en Occident. Aujourd'hui, l'urbanisation est davantage présente en Afrique. Et pour Phil Howarth, directeur des opérations à Frost & Sullivan, un cabinet d'analystes américain, ce phénomène ne va cesser de s'accroître. Ainsi, le 26 août 2011, on apprend dans un article du magazine How We Made it in Africa que d'ici 2050, 60% des Africains vivront dans des villes. Toutes ces modifications vont bouleverser le paysage démographique africain; des mégapoles vont naître de ces changements. (www.slate.fr)

Une nounou torturée par les Kadhafi témoigne
La famille du «Guide» libyen ne s'interdisait rien. Au milieu du luxe opulent de leurs résidences, certains employés souffraient le martyre. Elle est allongée sur un matelas, décharnée. Sa tête est recouverte de croûtes, des lambeaux de peau se sont détachés de son visage. Des marques sanglantes et des traces de brûlures parsèment ses bras et ses jambes, des blessures purulentes recouvrent ses épaules et son crâne. Elle s'appelle Shweyga Mullah, elle a trente ans, et était employée comme nounou par le fils aîné des Kadhafi. (www.lefigaro.fr) Elle est le visage de la violence que les Kadhafi faisaient endurer au peuple libyen.

Source: Yahoo News


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Victor Nouioua



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