Les deux dirigeants doivent notamment s'entretenir des mesures proposées par la présidence française de l'Union européenne pour l'énergie et le climat.
François Fillon devait arriver jeudi en Italie pour prononcer un discours à Fiuggi, dans les environs de Rome, devant l'université d'été du Parti populaire européen (PPE), le groupe politique dont fait partie son parti, l'UMP, au Parlement européen. Il doit aborder principalement la crise géorgienne et la crise économique internationale, a annoncé son entourage.
Vendredi matin, il rencontrera à la Villa Médicis Frédéric Mitterrand, le nouveau directeur de l'Académie de France à Rome. Aussitôt après son entretien avec M. Berlusconi, Fillon partira pour Sotchi, en Russie. Il doit présider dans cette ville caucasienne un séminaire gouvernemental franco-russe avec son homologue russe, Vladimir Poutine.
Le Premier ministre rencontrera son homologue Vladimir Poutine vendredi et samedi à Sotchi, au bord de la mer Noire, dans le cadre d'un séminaire gouvernemental axé sur le partenariat économique.
Le déplacement de M. Fillon, prévu de longue date, avait été mis en suspens ces dernières semaines en raison du conflit russo-géorgien. Mais la France considère que la négociation menée par le président français Nicolas Sarkozy au nom de l'Union européenne a "produit des résultats", dit-on dans l'entourage du chef du gouvernement français. "La France a toujours dit qu'elle souhaitait le partenariat, pourvu que la Russie respecte ses engagements", rappelle-t-on.
Les autres grands pays européens n'ont pas remis en cause leur coopération avec Moscou, justifie-t-on encore côté français, en rappelant que la chancelière allemande Angela Merkel assisterait à une réunion russo-allemande d'envergure à Saint-Pétersbourg en octobre. De source diplomatique, M. Sarkozy aurait décidé de maintenir la rencontre Fillon-Poutine à l'issue de sa rencontre avec le président russe Dmitri Medvedev, le 8 septembre.
La France, qui assure la présidence de l'UE jusqu'à la fin de l'année, estime que, pour l'instant, la Russie respecte les engagements pris par Dmitri Medvedev. Elle a ainsi retiré en fin de semaine dernière ses troupes de cinq positions stratégiques qu'elles occupaient dans l'ouest de la Géorgie, sur la ligne Poti-Senaki.
Source: Edicom
François Fillon devait arriver jeudi en Italie pour prononcer un discours à Fiuggi, dans les environs de Rome, devant l'université d'été du Parti populaire européen (PPE), le groupe politique dont fait partie son parti, l'UMP, au Parlement européen. Il doit aborder principalement la crise géorgienne et la crise économique internationale, a annoncé son entourage.
Vendredi matin, il rencontrera à la Villa Médicis Frédéric Mitterrand, le nouveau directeur de l'Académie de France à Rome. Aussitôt après son entretien avec M. Berlusconi, Fillon partira pour Sotchi, en Russie. Il doit présider dans cette ville caucasienne un séminaire gouvernemental franco-russe avec son homologue russe, Vladimir Poutine.
Le Premier ministre rencontrera son homologue Vladimir Poutine vendredi et samedi à Sotchi, au bord de la mer Noire, dans le cadre d'un séminaire gouvernemental axé sur le partenariat économique.
Le déplacement de M. Fillon, prévu de longue date, avait été mis en suspens ces dernières semaines en raison du conflit russo-géorgien. Mais la France considère que la négociation menée par le président français Nicolas Sarkozy au nom de l'Union européenne a "produit des résultats", dit-on dans l'entourage du chef du gouvernement français. "La France a toujours dit qu'elle souhaitait le partenariat, pourvu que la Russie respecte ses engagements", rappelle-t-on.
Les autres grands pays européens n'ont pas remis en cause leur coopération avec Moscou, justifie-t-on encore côté français, en rappelant que la chancelière allemande Angela Merkel assisterait à une réunion russo-allemande d'envergure à Saint-Pétersbourg en octobre. De source diplomatique, M. Sarkozy aurait décidé de maintenir la rencontre Fillon-Poutine à l'issue de sa rencontre avec le président russe Dmitri Medvedev, le 8 septembre.
La France, qui assure la présidence de l'UE jusqu'à la fin de l'année, estime que, pour l'instant, la Russie respecte les engagements pris par Dmitri Medvedev. Elle a ainsi retiré en fin de semaine dernière ses troupes de cinq positions stratégiques qu'elles occupaient dans l'ouest de la Géorgie, sur la ligne Poti-Senaki.
Source: Edicom