Le Figaro
L'argent des syndicats en question
Les retraits de Gautier-Sauvagnac suscitent un débat sur la nécessité de réformer leur financement.
Affaire EADS: le rôle ambigu de la caisse des dépôts
En marge du scandale lié aux soupçons de délit d'initiés massif chez EADS, l'idée d'une réforme profonde de la CDC ressurgit.
Les retraits de Gautier-Sauvagnac suscitent un débat sur la nécessité de réformer leur financement.
Affaire EADS: le rôle ambigu de la caisse des dépôts
En marge du scandale lié aux soupçons de délit d'initiés massif chez EADS, l'idée d'une réforme profonde de la CDC ressurgit.
Libération
Antiterrorisme : les patrons parlent
ENTRETIEN EXCLUSIF. Avant la fusion de leurs deux services en 2008, les directeurs des RG et de la DST font le point pour «Libération» sur les menaces que la mouvance Al-Qaeda fait peser sur la France.
Interviewés pour la première fois ensemble, à l’initiative de Libération, les patrons de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Bernard Squarcini, et des Renseignements généraux (RG), Joël Bouchité, mettent fin aux rivalités entre ces deux services de police pour soutenir la «fusion», dans une même direction, du renseignement intérieur, afin de contrer le terrorisme islamiste de plus en plus menaçant.
ENTRETIEN EXCLUSIF. Avant la fusion de leurs deux services en 2008, les directeurs des RG et de la DST font le point pour «Libération» sur les menaces que la mouvance Al-Qaeda fait peser sur la France.
Interviewés pour la première fois ensemble, à l’initiative de Libération, les patrons de la Direction de la surveillance du territoire (DST), Bernard Squarcini, et des Renseignements généraux (RG), Joël Bouchité, mettent fin aux rivalités entre ces deux services de police pour soutenir la «fusion», dans une même direction, du renseignement intérieur, afin de contrer le terrorisme islamiste de plus en plus menaçant.
Le Monde
Les salariés d'Alcatel-Lucent ont perdu confiance
Qu'est-ce qui ne va pas chez Alcatel-Lucent ? Pourquoi le groupe issu de la fusion, fin 2006, entre l'équipementier de télécommunications Alcatel et son concurrent américain Lucent en est-il à son troisième avertissement sur ses objectifs financiers depuis le début de l'année ?
Des salariés français, interrogés par Le Monde, donnent leur point de vue. La plupart disent leur attachement à l'entreprise, mais aussi leur inquiétude, voire leur découragement. Le 30 octobre, leur directrice générale, Patricia Russo, doit présenter un "plan d'urgence" à son conseil d'administration. Ils craignent un nouveau plan social, quelques mois seulement après l'annonce de la suppression de 12 500 emplois au niveau mondial (1 500 en France).
Qu'est-ce qui ne va pas chez Alcatel-Lucent ? Pourquoi le groupe issu de la fusion, fin 2006, entre l'équipementier de télécommunications Alcatel et son concurrent américain Lucent en est-il à son troisième avertissement sur ses objectifs financiers depuis le début de l'année ?
Des salariés français, interrogés par Le Monde, donnent leur point de vue. La plupart disent leur attachement à l'entreprise, mais aussi leur inquiétude, voire leur découragement. Le 30 octobre, leur directrice générale, Patricia Russo, doit présenter un "plan d'urgence" à son conseil d'administration. Ils craignent un nouveau plan social, quelques mois seulement après l'annonce de la suppression de 12 500 emplois au niveau mondial (1 500 en France).
L'Humanité
Cancers au travail, le fléau caché
Le Grenelle de l’environnement interpellé
En Seine-Saint-Denis, élus départementaux, chercheurs et syndicalistes lancent un appel. Leurs études révèlent une large sous-estimation de la mortalité. La responsabilité des employeurs doit être reconnue.
Immigration
Le dérapage de Fillon. Les tests ADN seraient un « détail » et « ridicule », sa critique.
Refuser le misère
Notre cahier central « Résistances », en partenariat avec ADT Quart-Monde
Coupe du monde de rugby
Ils l’ont fait !
Donnés perdants, les Bleus retournent la situation. Ils affronteront l’Angleterre samedi. Scènes de joie à l’annonce de l’exploit.
Le Grenelle de l’environnement interpellé
En Seine-Saint-Denis, élus départementaux, chercheurs et syndicalistes lancent un appel. Leurs études révèlent une large sous-estimation de la mortalité. La responsabilité des employeurs doit être reconnue.
Immigration
Le dérapage de Fillon. Les tests ADN seraient un « détail » et « ridicule », sa critique.
Refuser le misère
Notre cahier central « Résistances », en partenariat avec ADT Quart-Monde
Coupe du monde de rugby
Ils l’ont fait !
Donnés perdants, les Bleus retournent la situation. Ils affronteront l’Angleterre samedi. Scènes de joie à l’annonce de l’exploit.
La Croix
Deux personnalités saoudiennes s'attaquent à Ben Laden
Dans des discours et dans une lettre récente, un universitaire et un religieux très connus dans le royaume saoudien tentent de discréditer le chef d’Al-Qaida.
Les critiques à l’encontre du terroriste Oussama Ben Laden sont rares au sein du monde musulman. Elles le sont encore plus dans le royaume saoudien. Or, deux personnalités respectées dans ce pays ont franchi le Rubicon.
La première est Salman Al Oadah, prêcheur salafiste et universitaire très connu en Arabie saoudite et dans le monde musulman. Il avait été emprisonné par les autorités saoudiennes dans les années 1990, avec quatre autres religieux, pour avoir critiqué les relations étroites entre son pays et les États-Unis et la présence des forces américaines sur le sol saoudien après la première guerre du Golfe.
Dans des discours et dans une lettre récente, un universitaire et un religieux très connus dans le royaume saoudien tentent de discréditer le chef d’Al-Qaida.
Les critiques à l’encontre du terroriste Oussama Ben Laden sont rares au sein du monde musulman. Elles le sont encore plus dans le royaume saoudien. Or, deux personnalités respectées dans ce pays ont franchi le Rubicon.
La première est Salman Al Oadah, prêcheur salafiste et universitaire très connu en Arabie saoudite et dans le monde musulman. Il avait été emprisonné par les autorités saoudiennes dans les années 1990, avec quatre autres religieux, pour avoir critiqué les relations étroites entre son pays et les États-Unis et la présence des forces américaines sur le sol saoudien après la première guerre du Golfe.
Le Parisien/Aujourd'hui en France
Pourquoi cette fois les Bleus peuvent aller jusqu'au bout
Deux fois battus en finale, en 1987 et 1999, les Français se voient offrir, grâce à leur exploit face aux Blacks, une opportunité en or de remporter enfin la Coupe du monde. Il ne reste plus que deux matchs...
A L'INVERSE des footballeurs d'Aimé Jacquet, couronnés en 1998 devant le Brésil, jamais les rugbymen français n'ont été sacrés champions du monde. Finalistes malheureux à deux reprises (1987 et 1999), les Tricolores ont retenu les leçons du passé. Disputée en France, la sixième édition du Mondial doit être la leur.
Après l'exploit de Cardiff face aux Néo-Zélandais (20-18), ils défieront l'Angleterre, samedi en demi-finale, au Stade de France. Cette fois, on imagine mal les Bleus laisser filer leur chance.
Deux fois battus en finale, en 1987 et 1999, les Français se voient offrir, grâce à leur exploit face aux Blacks, une opportunité en or de remporter enfin la Coupe du monde. Il ne reste plus que deux matchs...
A L'INVERSE des footballeurs d'Aimé Jacquet, couronnés en 1998 devant le Brésil, jamais les rugbymen français n'ont été sacrés champions du monde. Finalistes malheureux à deux reprises (1987 et 1999), les Tricolores ont retenu les leçons du passé. Disputée en France, la sixième édition du Mondial doit être la leur.
Après l'exploit de Cardiff face aux Néo-Zélandais (20-18), ils défieront l'Angleterre, samedi en demi-finale, au Stade de France. Cette fois, on imagine mal les Bleus laisser filer leur chance.
La Tribune
Affaire EADS : l'État mis sous pression
La ministre de l'Économie, Christine Lagarde, publiera jeudi le rapport d'enquête sur les agissements de Bercy dans le dossier EADS entre fin 2005 et juin 2006. Son prédécesseur, Thierry Breton, dit avoir appris " par la presse " l'achat par la CDC de titres de Lagardère, le jour où ce dernier se désengageait d'EADS, le 4 avril 2006, et ne pas avoir connu à cette date le nouveau retard de l'A380, annoncé en juin. Selon les statuts de Sogeade, qui gère les parts de l'État et de Lagardère dans EADS, la requête de vente doit préciser le nom de l'acheteur.
Merrill Lynch alerte le marché
Le premier courtier mondial prévoit une dépréciation d'actifs de 5,5 milliards de dollars pour le troisième trimestre. Wall Street espère que le gros de la crise est passé.
Croissance : les recettes d'Henri Guaino
Dans un entretien à La Tribune, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy explique que les premiers fruits de la politique menée sont attendus pour " la fin 2008 ".
Le consortium emporte ABN-Amro
Le trio formé par Royal Bank of Scotland, Fortis et Santander confirmera ce matin le succès de son offre. Barclays a retiré son offre.
La ministre de l'Économie, Christine Lagarde, publiera jeudi le rapport d'enquête sur les agissements de Bercy dans le dossier EADS entre fin 2005 et juin 2006. Son prédécesseur, Thierry Breton, dit avoir appris " par la presse " l'achat par la CDC de titres de Lagardère, le jour où ce dernier se désengageait d'EADS, le 4 avril 2006, et ne pas avoir connu à cette date le nouveau retard de l'A380, annoncé en juin. Selon les statuts de Sogeade, qui gère les parts de l'État et de Lagardère dans EADS, la requête de vente doit préciser le nom de l'acheteur.
Merrill Lynch alerte le marché
Le premier courtier mondial prévoit une dépréciation d'actifs de 5,5 milliards de dollars pour le troisième trimestre. Wall Street espère que le gros de la crise est passé.
Croissance : les recettes d'Henri Guaino
Dans un entretien à La Tribune, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy explique que les premiers fruits de la politique menée sont attendus pour " la fin 2008 ".
Le consortium emporte ABN-Amro
Le trio formé par Royal Bank of Scotland, Fortis et Santander confirmera ce matin le succès de son offre. Barclays a retiré son offre.
Les Echos
Parisot : non à une taxation alourdie des stock-options
L'« affaire Gautier-Sauvagnac » a rebondi vendredi, à la suite de nouvelles révélations sur des retraits d'argent qui dépasseraient finalement 15 millions d'euros. Ce week-end, Laurence Parisot a décidé d'accentuer la pression sur le président de l'UIMM. Ce dernier est toujours chef de file officiel du Medef dans la négociation sur le marché du travail, mais la patronne des patrons réexamine « quotidiennement » la situation, des gardes à vue n'étant pas exclues par les enquêteurs. Dans une interview aux « Echos », Laurence Parisot estime que ce dossier doit inciter les partenaires sociaux à adopter « une gouvernance plus démocratique ». Par ailleurs, au nom de la participation des salariés aux résultats de leur entreprise, elle s'oppose fermement à la volonté du président de la République de relever la fiscalité des stock-options. « Je ne suis pas sûre que ce projet serve les intérêts de notre économie », explique-t-elle.
L'« affaire Gautier-Sauvagnac » a rebondi vendredi, à la suite de nouvelles révélations sur des retraits d'argent qui dépasseraient finalement 15 millions d'euros. Ce week-end, Laurence Parisot a décidé d'accentuer la pression sur le président de l'UIMM. Ce dernier est toujours chef de file officiel du Medef dans la négociation sur le marché du travail, mais la patronne des patrons réexamine « quotidiennement » la situation, des gardes à vue n'étant pas exclues par les enquêteurs. Dans une interview aux « Echos », Laurence Parisot estime que ce dossier doit inciter les partenaires sociaux à adopter « une gouvernance plus démocratique ». Par ailleurs, au nom de la participation des salariés aux résultats de leur entreprise, elle s'oppose fermement à la volonté du président de la République de relever la fiscalité des stock-options. « Je ne suis pas sûre que ce projet serve les intérêts de notre économie », explique-t-elle.
L'Equipe
La France s'embrase !
Notre consultant analyse la victoire française (20-18) devant les Blacks comme celle du «coeur». Laurent Bénézech pense que cet exploit a été permis grâce à une défense de fer due à une énorme condition physique et à une gestion de groupe absolument remarquable.
Notre consultant analyse la victoire française (20-18) devant les Blacks comme celle du «coeur». Laurent Bénézech pense que cet exploit a été permis grâce à une défense de fer due à une énorme condition physique et à une gestion de groupe absolument remarquable.