On ignorait encore les raisons de son départ, mais selon une source au Congrès, Lott n'aurait aucun problème de santé. Il aurait plutôt "d'autres opportunités", a avancé ce même responsable, sans plus de précisions.
Lott a dirigé la majorité républicaine au Sénat jusqu'en 2002, puis a été contraint de quitter son poste après des commentaires interprétés comme favorables aux politiques ségrégationnistes. Il a été réélu en 2006 et nommé numéro deux du groupe, aujourd'hui minoritaire.
Lott, 66 ans, doit préciser ses intentions au cours de deux conférences de presse prévues dans la journée dans le Mississippi. Selon des responsables au Congrès et à la Maison Blanche, il annoncera qu'il abandonne son siège au Sénat à la fin de l'année.
On ignorait encore les raisons de son départ, mais selon une source au Congrès, Lott n'aurait aucun problème de santé. Il aurait plutôt "d'autres opportunités", a avancé ce même responsable, sans plus de précisions.
Lott a dirigé la majorité républicaine au Sénat jusqu'en 2002, puis a été contraint de quitter son poste après des commentaires interprétés comme favorables aux politiques ségrégationnistes. Il a été réélu en 2006 et nommé numéro deux du groupe, aujourd'hui minoritaire.
Lott a dirigé la majorité républicaine au Sénat jusqu'en 2002, puis a été contraint de quitter son poste après des commentaires interprétés comme favorables aux politiques ségrégationnistes. Il a été réélu en 2006 et nommé numéro deux du groupe, aujourd'hui minoritaire.
Lott, 66 ans, doit préciser ses intentions au cours de deux conférences de presse prévues dans la journée dans le Mississippi. Selon des responsables au Congrès et à la Maison Blanche, il annoncera qu'il abandonne son siège au Sénat à la fin de l'année.
On ignorait encore les raisons de son départ, mais selon une source au Congrès, Lott n'aurait aucun problème de santé. Il aurait plutôt "d'autres opportunités", a avancé ce même responsable, sans plus de précisions.
Lott a dirigé la majorité républicaine au Sénat jusqu'en 2002, puis a été contraint de quitter son poste après des commentaires interprétés comme favorables aux politiques ségrégationnistes. Il a été réélu en 2006 et nommé numéro deux du groupe, aujourd'hui minoritaire.