un ovniport accueille sa première soucoupe volante
La petite ville d'Arès, dans le bassin d'Arcachon, a accueilli sa première soucoupe volante sur son ovniport. En 1976, la ville d'Arès s'était dotée d'une base d'atterrissage après qu'un passionné de l'espace et des ovni a convaincu le maire de la ville de la nécessité d'un tel équipement municipal. Inauguré en pleine Fête de l'huître, l'ovniport était accompagné d'une série de mesures précises comme l'exemption de taxes d'atterrissage pour les éventuels extraterrestres. Ceux-ci peuvent aussi officiellement prendre part aux tournois de pétanque et de patins à vase, activité qui consiste à chercher des mollusques dans la vase grâce à des planchettes de bois équipées aux pieds. La réponse favorable à cette demande n'est pas sans dessein et le maire ne se cache pas de l'intérêt touristique d'une telle spécialisation de la petite station balnéaire. "C'était une vaste plaisanterie. Mais les élus ont joué le jeu parce qu'ils se disaient que c'était le moyen d'attirer le plus de touristes possible", a raconté à la presse, Christian Esplandiu, président de l'office de tourisme d'Arès. Vendredi dernier, lors de l'événement "Allo Arès ? Ici ovni !" qui s'est déroulé dans le cadre des festivités du centenaire de l'aéronautique en Aquitaine, une soucoupe volante est venue atterrir sur le tarmac de l'ovniport après 34 ans d'attente.(zigonet)
Des crevettes torturées en Californie
Au restaurant Nishiki Sushi de Sacramento, en Californie, on peut commander un plat original: le «dancing shrimp» (crevette qui danse). Ou plutôt, on pouvait, jusqu'à ce que l'association de défense des animaux Peta (People for the ethical treatment of animals) ne s'émeuve de cette manière cruelle de manger des crevettes: servies vivantes, elles sont aspergées de citron et avalées alors qu'elles se débattent encore pour échapper à une mort acide. Ce plat, très coté au Japon, n'a pas plu à PETA, qui a contacté le restaurant après avoir reçu plusieurs plaintes de clients outrés par le sort réservé aux crevettes. S'appuyant sur un rapport de la Queen's University de Belfast paru en 2007, PETA a rappelé que la souffrance des crevettes était bien réelle: les expériences menées par les chercheurs irlandais permettent de mesurer la douleur ressentie par la crevette lorsqu'elle est aspergée de citron. «Comme nous avons reçu de nombreux appels, nous avons contacté Nishiki et leur avons expliqué que tout animal ressentait la douleur. Nous en avons des preuves scientifiques», a déclaré Amanda Fortino, coordinatrice de campagne pour PETA. «Ils ont accepté de ne plus vendre de crevettes vivantes, et nous en sommes satisfaits».(20minutes)
Cambodge : le vautour de retour au pays grâce à des restaurants dédiés
Alors qu'ils avaient presque disparu du pays, les vautours sont de retour au Cambodge, et cela notamment après que le pays a mis en place des sortes de "restaurants" dédiés aux rapaces. En 2004, les vautours étaient au nombre de 166 au Cambodge. Aujourd'hui, ils seraient près de 300, voyant leur population largement augmenter, et cela en très peu d'années. Et la Wildlife Conservation Society d'expliquer que les oiseaux étaient victimes d'un anti-inflammatoire souvent utilisé pour soigner les animaux dont ils se nourrissaient.Aujourd'hui, le Cambodge n'utilise que très peu cet anti-inflammatoire et un programme de conservation a été mis en place. Ainsi, le Dr. Hugo Rainey explique à l'AFP : "En protégeant les nids et assurant l'approvisionnement en nourriture, nous sauvons l'un des plus grands et plus charismatiques oiseaux de la planète."(zigonet)
Source: Yahoo Actualités
La petite ville d'Arès, dans le bassin d'Arcachon, a accueilli sa première soucoupe volante sur son ovniport. En 1976, la ville d'Arès s'était dotée d'une base d'atterrissage après qu'un passionné de l'espace et des ovni a convaincu le maire de la ville de la nécessité d'un tel équipement municipal. Inauguré en pleine Fête de l'huître, l'ovniport était accompagné d'une série de mesures précises comme l'exemption de taxes d'atterrissage pour les éventuels extraterrestres. Ceux-ci peuvent aussi officiellement prendre part aux tournois de pétanque et de patins à vase, activité qui consiste à chercher des mollusques dans la vase grâce à des planchettes de bois équipées aux pieds. La réponse favorable à cette demande n'est pas sans dessein et le maire ne se cache pas de l'intérêt touristique d'une telle spécialisation de la petite station balnéaire. "C'était une vaste plaisanterie. Mais les élus ont joué le jeu parce qu'ils se disaient que c'était le moyen d'attirer le plus de touristes possible", a raconté à la presse, Christian Esplandiu, président de l'office de tourisme d'Arès. Vendredi dernier, lors de l'événement "Allo Arès ? Ici ovni !" qui s'est déroulé dans le cadre des festivités du centenaire de l'aéronautique en Aquitaine, une soucoupe volante est venue atterrir sur le tarmac de l'ovniport après 34 ans d'attente.(zigonet)
Des crevettes torturées en Californie
Au restaurant Nishiki Sushi de Sacramento, en Californie, on peut commander un plat original: le «dancing shrimp» (crevette qui danse). Ou plutôt, on pouvait, jusqu'à ce que l'association de défense des animaux Peta (People for the ethical treatment of animals) ne s'émeuve de cette manière cruelle de manger des crevettes: servies vivantes, elles sont aspergées de citron et avalées alors qu'elles se débattent encore pour échapper à une mort acide. Ce plat, très coté au Japon, n'a pas plu à PETA, qui a contacté le restaurant après avoir reçu plusieurs plaintes de clients outrés par le sort réservé aux crevettes. S'appuyant sur un rapport de la Queen's University de Belfast paru en 2007, PETA a rappelé que la souffrance des crevettes était bien réelle: les expériences menées par les chercheurs irlandais permettent de mesurer la douleur ressentie par la crevette lorsqu'elle est aspergée de citron. «Comme nous avons reçu de nombreux appels, nous avons contacté Nishiki et leur avons expliqué que tout animal ressentait la douleur. Nous en avons des preuves scientifiques», a déclaré Amanda Fortino, coordinatrice de campagne pour PETA. «Ils ont accepté de ne plus vendre de crevettes vivantes, et nous en sommes satisfaits».(20minutes)
Cambodge : le vautour de retour au pays grâce à des restaurants dédiés
Alors qu'ils avaient presque disparu du pays, les vautours sont de retour au Cambodge, et cela notamment après que le pays a mis en place des sortes de "restaurants" dédiés aux rapaces. En 2004, les vautours étaient au nombre de 166 au Cambodge. Aujourd'hui, ils seraient près de 300, voyant leur population largement augmenter, et cela en très peu d'années. Et la Wildlife Conservation Society d'expliquer que les oiseaux étaient victimes d'un anti-inflammatoire souvent utilisé pour soigner les animaux dont ils se nourrissaient.Aujourd'hui, le Cambodge n'utilise que très peu cet anti-inflammatoire et un programme de conservation a été mis en place. Ainsi, le Dr. Hugo Rainey explique à l'AFP : "En protégeant les nids et assurant l'approvisionnement en nourriture, nous sauvons l'un des plus grands et plus charismatiques oiseaux de la planète."(zigonet)
Source: Yahoo Actualités