Son corps a été retrouvé dans sa baignoire jeudi par les pompiers qui ont dû passer par une fenêtre pour accéder à son domicile. Une autopsie doit être réalisée ce vendredi pour déterminer les causes dune mort sans doute due à l'absorption de médicaments.
Dans une lettre retrouvée dans son appartement fermé à clefs, le suspect âgé de 54 ans déjà condamné pour viol assure qu'il n'a pas commis d'autres agressions depuis sa sortie de prison.
Cet employé dune société de fret avait été repéré le 29 février dans une galerie commerciale d'Orly (Val-de-Marne) en train de photocopier des photos de mineurs à caractère pornographique. Après lavoir interpellé, les policiers avaient découvert dans son véhicule une corde, une paire de menottes, une bombe lacrymogène et un couteau.
L'homme qui n'a pas d'ordinateur avait également une importante collection d'images pornographiques extraites de revues et une cassette audio dans laquelle il raconte les détails d'une quinzaine d'agressions commises sur des garçonnets et des fillettes dans les années 1980. "Il y expose tous ses fantasmes", indique-t-on de source policière.
En garde à vue, l'homme a avoué avoir agressé sexuellement et violé plusieurs mineurs dans les années 1980. Mais les enquêteurs de la Sûreté départementale cherchent également à établir d'autres agressions plus récentes n'étant pas prescrites.
Le parquet de Créteil a ouvert une enquête préliminaire au sujet de ces agressions et a demandé à la Brigade des mineurs d'identifier les victimes de cet homme qui a habité en province -dans la région lyonnaise- mais également à Paris.
Il avait été condamné en 1988 à 12 ans de prison pour le viol du fils de son ancienne compagne. Il a été libéré en 1994. La diffusion de son profil a été faite à de nombreux services de police et de gendarmerie.
Les enquêteurs en charge du meurtre de Jonathan Coulon, enlevé en avril 2004 dans un centre de vacances de Loire-Atlantique et retrouvé mort dans un étang de Guérande, se sont notamment intéressés au dossier de ce pédophile présumé.
Le placement sous contrôle judiciaire du suspect avait par ailleurs été dénoncé par le syndicat de policiers Alliance qui jugeait cet homme potentiellement dangereux.
yahoo.com
Dans une lettre retrouvée dans son appartement fermé à clefs, le suspect âgé de 54 ans déjà condamné pour viol assure qu'il n'a pas commis d'autres agressions depuis sa sortie de prison.
Cet employé dune société de fret avait été repéré le 29 février dans une galerie commerciale d'Orly (Val-de-Marne) en train de photocopier des photos de mineurs à caractère pornographique. Après lavoir interpellé, les policiers avaient découvert dans son véhicule une corde, une paire de menottes, une bombe lacrymogène et un couteau.
L'homme qui n'a pas d'ordinateur avait également une importante collection d'images pornographiques extraites de revues et une cassette audio dans laquelle il raconte les détails d'une quinzaine d'agressions commises sur des garçonnets et des fillettes dans les années 1980. "Il y expose tous ses fantasmes", indique-t-on de source policière.
En garde à vue, l'homme a avoué avoir agressé sexuellement et violé plusieurs mineurs dans les années 1980. Mais les enquêteurs de la Sûreté départementale cherchent également à établir d'autres agressions plus récentes n'étant pas prescrites.
Le parquet de Créteil a ouvert une enquête préliminaire au sujet de ces agressions et a demandé à la Brigade des mineurs d'identifier les victimes de cet homme qui a habité en province -dans la région lyonnaise- mais également à Paris.
Il avait été condamné en 1988 à 12 ans de prison pour le viol du fils de son ancienne compagne. Il a été libéré en 1994. La diffusion de son profil a été faite à de nombreux services de police et de gendarmerie.
Les enquêteurs en charge du meurtre de Jonathan Coulon, enlevé en avril 2004 dans un centre de vacances de Loire-Atlantique et retrouvé mort dans un étang de Guérande, se sont notamment intéressés au dossier de ce pédophile présumé.
Le placement sous contrôle judiciaire du suspect avait par ailleurs été dénoncé par le syndicat de policiers Alliance qui jugeait cet homme potentiellement dangereux.
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