L'HOMMAGE DE LA VILLE D'ISTRES AU PASTORALISME
C’est parce que la ressource principale d’Istres fut pendant longtemps l’élevage des moutons que la « Fête des Bergers et des Traditions » créée en 1964 par Maurice GOUIN et rénovée en 1976 par René PROLA avec l’efficace participation du Syndicat d’Initiative dirigé par René MOUNIER et avec Jean MILLE et le Cercle d’Etudes Provençales, est devenue le symbole d’une économie qui reste encore très vivante.
Cette fête se veut aussi le souvenir d’un des grands moments du pastoralisme, la transhumance. Les méthodes ont changé, les moyens de transport aussi et cette montée des troupeaux vers les alpages n’a plus ni les sons ni les couleurs d’antan mais elle reste dans les mémoires. Le défilé du troupeau de moutons, du domaine de la Massuguière avec, à sa tête la famille TROUILLARD, Clément dès 1964 et maintenant son fils Christian, accompagné des chèvres, des ânes, des groupes folkloriques et des gardians, le grand galop des douze chevaux de trait tirant la charrette fleurie « caretto ramado » dans le centre ville d’Istres, tout rappelle ce moment exceptionnel et particulièrement coloré.
En la transposant non loin de Noël, le Comité de la « Fête des Bergers et des Traditions » ne lui a rien retiré de sa valeur symbolique mais lui a sans doute apporté un atout et une nostalgie supplémentaires quand on sait l’importance que prend cette fête dans l’imagerie pastorale et son importance dans le monde des bergers.
UN HYMNE AUX TRADITIONS DE LA PROVENCE
Restreindre la « Fête des Bergers » au défilé des troupeaux, aussi spectaculaire soit-il, serait cependant oublier le contexte dans lequel s’accomplissait la transhumance : langue provençale, traditions, vie quotidienne.
C’est pourquoi la « Fête des Bergers et des traditions» forme un tout qui ne se limite pas à la journée du premier dimanche de décembre. Dès le début de la fête, manifestations, conférences, spectacles, expositions, veillées, repas se succèdent pour que chacun vive cette fête comme il entend.
C’est parce que la ressource principale d’Istres fut pendant longtemps l’élevage des moutons que la « Fête des Bergers et des Traditions » créée en 1964 par Maurice GOUIN et rénovée en 1976 par René PROLA avec l’efficace participation du Syndicat d’Initiative dirigé par René MOUNIER et avec Jean MILLE et le Cercle d’Etudes Provençales, est devenue le symbole d’une économie qui reste encore très vivante.
Cette fête se veut aussi le souvenir d’un des grands moments du pastoralisme, la transhumance. Les méthodes ont changé, les moyens de transport aussi et cette montée des troupeaux vers les alpages n’a plus ni les sons ni les couleurs d’antan mais elle reste dans les mémoires. Le défilé du troupeau de moutons, du domaine de la Massuguière avec, à sa tête la famille TROUILLARD, Clément dès 1964 et maintenant son fils Christian, accompagné des chèvres, des ânes, des groupes folkloriques et des gardians, le grand galop des douze chevaux de trait tirant la charrette fleurie « caretto ramado » dans le centre ville d’Istres, tout rappelle ce moment exceptionnel et particulièrement coloré.
En la transposant non loin de Noël, le Comité de la « Fête des Bergers et des Traditions » ne lui a rien retiré de sa valeur symbolique mais lui a sans doute apporté un atout et une nostalgie supplémentaires quand on sait l’importance que prend cette fête dans l’imagerie pastorale et son importance dans le monde des bergers.
UN HYMNE AUX TRADITIONS DE LA PROVENCE
Restreindre la « Fête des Bergers » au défilé des troupeaux, aussi spectaculaire soit-il, serait cependant oublier le contexte dans lequel s’accomplissait la transhumance : langue provençale, traditions, vie quotidienne.
C’est pourquoi la « Fête des Bergers et des traditions» forme un tout qui ne se limite pas à la journée du premier dimanche de décembre. Dès le début de la fête, manifestations, conférences, spectacles, expositions, veillées, repas se succèdent pour que chacun vive cette fête comme il entend.