Fraîcheur et Beauté
Dimanche 26 Mars 2006 - 15:54
Le bon fonctionnement de notre cerveau dépend aussi de notre alimentation. Que manger pour mieux penser ?
Des protéines pour relancer le cerveau.
Elles participent à la fabrication des neurotransmetteurs, agents de communication de l’information dans le cerveau. Pour éviter les coups de pompe de l’après-midi, et mieux répondre aux situations de stress, opter pour un déjeuner léger et riche en protéines.
Des graisses pour le maintenir en bon état.
Les oméga-3 permettent de construire et de maintenir en bon état les membranes des cellules cérébrales, tout en assurant une meilleure transmission des messages. La solution est simple afin de rester plus longtemps alerte : une cuillérée à soupe d’huile de colza par jour, du poisson gras au moins deux fois par semaine.
Des glucides pour lui apporter de l’énergie.
Les cellules cérébrales ont besoin d’un apport régulier de sucres lents pour favoriser l’attention et la concentration. Le pain aux céréales, les légumes secs, ainsi que les pâtes complètes vont dans ce sens.
Des vitamines pour le dynamiser.
Tels les vitamines B6, B9, B12 et B1 qui sont nécessaires à la fabrication et au bon fonctionnement des neurotransmetteurs. Il faut donc manger de façon équilibrée foies de volaille, jaunes d’œuf, haricots blancs, huîtres, harengs, porc, lentilles et cresson.
Des minéraux pour le protéger et le stimuler.
Le fer reste le plus important car son absence provoque une anémie, c'est-à-dire une mauvaise oxygénation du cerveau et donc un déficit de sa fonction. On en trouve dans le boudin noir, les viandes rouges et les lentilles. Le cuivre aussi apporte sa contribution. Il joue un rôle protecteur et contrôle la fabrication de l’énergie cérébrale à partir du glucose. Foie de veau, huîtres et calamars en sont riches.
Bien se nourrir
Elles participent à la fabrication des neurotransmetteurs, agents de communication de l’information dans le cerveau. Pour éviter les coups de pompe de l’après-midi, et mieux répondre aux situations de stress, opter pour un déjeuner léger et riche en protéines.
Des graisses pour le maintenir en bon état.
Les oméga-3 permettent de construire et de maintenir en bon état les membranes des cellules cérébrales, tout en assurant une meilleure transmission des messages. La solution est simple afin de rester plus longtemps alerte : une cuillérée à soupe d’huile de colza par jour, du poisson gras au moins deux fois par semaine.
Des glucides pour lui apporter de l’énergie.
Les cellules cérébrales ont besoin d’un apport régulier de sucres lents pour favoriser l’attention et la concentration. Le pain aux céréales, les légumes secs, ainsi que les pâtes complètes vont dans ce sens.
Des vitamines pour le dynamiser.
Tels les vitamines B6, B9, B12 et B1 qui sont nécessaires à la fabrication et au bon fonctionnement des neurotransmetteurs. Il faut donc manger de façon équilibrée foies de volaille, jaunes d’œuf, haricots blancs, huîtres, harengs, porc, lentilles et cresson.
Des minéraux pour le protéger et le stimuler.
Le fer reste le plus important car son absence provoque une anémie, c'est-à-dire une mauvaise oxygénation du cerveau et donc un déficit de sa fonction. On en trouve dans le boudin noir, les viandes rouges et les lentilles. Le cuivre aussi apporte sa contribution. Il joue un rôle protecteur et contrôle la fabrication de l’énergie cérébrale à partir du glucose. Foie de veau, huîtres et calamars en sont riches.
Bien se nourrir
Cédric Lopez
Rédigé par Cédric Lopez le Dimanche 26 Mars 2006 à 15:54
Insolite
Jeudi 23 Mars 2006 - 20:54
Un des premiers ouvrages scientifiques traitant de la combustion spontanée du corps humain est l’ouvrage intitulé «Incendiis Corporis Humani Spontaneis» paru en 1763 en Hollande.
Contrairement à une idée très répandue, cette mort étrange et fulgurante ne touche pas que des personnes âgées, dépressives ou solitaires : on connaît au moins deux cas de jeunes filles décédées dans des lieux publics alors qu’elles s’amusaient. Michael Harrisson signale même un cas particulièrement choquant puisque la victime était un bébé de 11 mois.
Le cas de Mary Reeser est célèbre pour plusieurs raisons. D’abord parce que le FBI s’est occupé de l’affaire (il s’agissait de la première enquête contemporaine). Ensuite, à cause d’une méprise : les restes de la victime furent réduits à un conglomérat de cendres si restreint qu’on la crût tout d’abord absente du lieu du drame. A ces deux particularités s’ajoute un détail qui semble issu d’un film fantastique : les premières personnes arrivées sur les lieux constatèrent que le bouton de la porte de l’appartement était trop chaud pour qu’on puisse y porter la main (c’est à cause de ce fait insolite et inquiétant que l’alerte fut donnée). Mais l’élément le plus singulier est probablement l’extraordinaire transformation de la tête de Mary Reeser. Son crâne fut en effet réduit à la taille d’un pamplemousse. Cette réduction est incompréhensible : un crâne humain a d’ordinaire tendance à se dilater lorsqu’il est soumis à une forte chaleur.
On a pris l’habitude d’écrire que les corps sont réduits à «un tas» de cendres. C’est inexact : les restes carbonisés gardent assez nettement la forme des viscères et des tissus touchés. Cette vision est beaucoup plus choquante que s’il s'agissait d’un tas de cendres informe (cela arrive dans certains cas, il s’agit alors de calcination).
Voir dans la consommation immodérée d’alcool la cause de ce phénomène est un mythe qui ne repose sur aucune réalité. Des expériences réalisées sur un foetus humain et sur des cadavres d’animaux ayant subi une longue imprégnation d’alcool pur l’ont clairement démontré : ils n’ont brûlé que superficiellement lorsqu’on leur a mis le feu. Le souvenir que je garde de ce genre d’expérience est particulièrement pénible.
Pour en savoir http://cendrars.club.fr/enigma2/feux1.htm
Le cas de Mary Reeser est célèbre pour plusieurs raisons. D’abord parce que le FBI s’est occupé de l’affaire (il s’agissait de la première enquête contemporaine). Ensuite, à cause d’une méprise : les restes de la victime furent réduits à un conglomérat de cendres si restreint qu’on la crût tout d’abord absente du lieu du drame. A ces deux particularités s’ajoute un détail qui semble issu d’un film fantastique : les premières personnes arrivées sur les lieux constatèrent que le bouton de la porte de l’appartement était trop chaud pour qu’on puisse y porter la main (c’est à cause de ce fait insolite et inquiétant que l’alerte fut donnée). Mais l’élément le plus singulier est probablement l’extraordinaire transformation de la tête de Mary Reeser. Son crâne fut en effet réduit à la taille d’un pamplemousse. Cette réduction est incompréhensible : un crâne humain a d’ordinaire tendance à se dilater lorsqu’il est soumis à une forte chaleur.
On a pris l’habitude d’écrire que les corps sont réduits à «un tas» de cendres. C’est inexact : les restes carbonisés gardent assez nettement la forme des viscères et des tissus touchés. Cette vision est beaucoup plus choquante que s’il s'agissait d’un tas de cendres informe (cela arrive dans certains cas, il s’agit alors de calcination).
Voir dans la consommation immodérée d’alcool la cause de ce phénomène est un mythe qui ne repose sur aucune réalité. Des expériences réalisées sur un foetus humain et sur des cadavres d’animaux ayant subi une longue imprégnation d’alcool pur l’ont clairement démontré : ils n’ont brûlé que superficiellement lorsqu’on leur a mis le feu. Le souvenir que je garde de ce genre d’expérience est particulièrement pénible.
Pour en savoir http://cendrars.club.fr/enigma2/feux1.htm
Sylvie Louis
Rédigé par Sylvie Louis le Jeudi 23 Mars 2006 à 20:54
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