220.000 manifestants contre la loi Travail dans toute la France
Perspective communiste
De nouvelles manifestations se sont déroulées mardi 17 mai dans plusieurs villes de France, dont Paris, contre la loi Travail. Elles ont réuni environ 220.000 manifestants
Entre 11 000 et 55 000 manifestants à Paris
Entre 11 000 et 12 000 personnes ont participé à la manifestation parisienne, selon le décompte communiqué par la préfecture de police de Paris. La CGT, elle, en a dénombré quelque 55 000.
Plusieurs militants interdits de manifestation. Cinquante-trois personnes ont fait l'objet d'une interdiction de participer aux manifestations contre la loi travail en France, a annoncé le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve devant la commission des Lois de l'Assemblée nationale.
Des heurts à Nantes et Rennes. Des incidents entre manifestants et forces de l'ordre ont éclaté à partir de la mi-journée à Nantes. Entre 3 500 et 10 000 personnes, selon les sources, participaient à la manifestation. Des incidents ont également éclaté à Rennes, après la manifestation dans le centre-ville. Des manifestants essayaient d'accéder à la rocade pour la bloquer. Les forces de l'ordre les en ont empêchés.
La mobilisation contre la Loi Travail s'accentue à Marseille
Des milliers de personnes ont manifesté leur opposition au projet de loi Travail dans les rues de Marseille ce matin. "Méprisés" par le 49-3, les manifestants continuent de demander le retrait du texte, sinon ils se "battront jusqu'à son abrogation".
Ils étaient encore plus nombreux. Avant même que ne sortent les traditionnels chiffres de la préfecture et des syndicats, c'est ce que beaucoup ont pu constater ce matin à Marseille. Une mobilisation galvanisée par le recours à l'article 49-3 en première lecture.
"Ce texte n'est bon pour personne, on a toutes les raisons de rester mobilisés et de se battre pour que le gouvernement soit contraint de retirer son texte", déclare Olivier Mateu, secrétaire général de l'Union Départementale CGT. "Il n'y a ni à la travailler ni à l'amender, cette loi n'est pas bonne du premier au dernier article, et puisque la seule chose que ce gouvernement comprend c'est l'argent, on va taper là où ça fait mal".
Entre 11 000 et 12 000 personnes ont participé à la manifestation parisienne, selon le décompte communiqué par la préfecture de police de Paris. La CGT, elle, en a dénombré quelque 55 000.
Plusieurs militants interdits de manifestation. Cinquante-trois personnes ont fait l'objet d'une interdiction de participer aux manifestations contre la loi travail en France, a annoncé le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve devant la commission des Lois de l'Assemblée nationale.
Des heurts à Nantes et Rennes. Des incidents entre manifestants et forces de l'ordre ont éclaté à partir de la mi-journée à Nantes. Entre 3 500 et 10 000 personnes, selon les sources, participaient à la manifestation. Des incidents ont également éclaté à Rennes, après la manifestation dans le centre-ville. Des manifestants essayaient d'accéder à la rocade pour la bloquer. Les forces de l'ordre les en ont empêchés.
La mobilisation contre la Loi Travail s'accentue à Marseille
Des milliers de personnes ont manifesté leur opposition au projet de loi Travail dans les rues de Marseille ce matin. "Méprisés" par le 49-3, les manifestants continuent de demander le retrait du texte, sinon ils se "battront jusqu'à son abrogation".
Ils étaient encore plus nombreux. Avant même que ne sortent les traditionnels chiffres de la préfecture et des syndicats, c'est ce que beaucoup ont pu constater ce matin à Marseille. Une mobilisation galvanisée par le recours à l'article 49-3 en première lecture.
"Ce texte n'est bon pour personne, on a toutes les raisons de rester mobilisés et de se battre pour que le gouvernement soit contraint de retirer son texte", déclare Olivier Mateu, secrétaire général de l'Union Départementale CGT. "Il n'y a ni à la travailler ni à l'amender, cette loi n'est pas bonne du premier au dernier article, et puisque la seule chose que ce gouvernement comprend c'est l'argent, on va taper là où ça fait mal".