31 accusations pour "sédition" contre des dirigeant.e.s catalan.e.s
Perspective communiste
Il n'y aura pas de main tendu, d'écoute, de dialogue venant de Madrid après la victoire des indépendantistes lors des élections illégitimes du 21 décembre 2017. La Guardia Civile a ouvert des enquêtes pour "séditions" contre des dirigeant.e.s catalan.e.s dont Eulàlia Reguant (CUP), Lluís Llach (chanteur antifasciste), Albano- Dante Fachin (ex-Podemos), Joan Josep Nuet (Secrétaire général des Communistes de Catalogne), Joan Tardà et Gabriel Rufian (députés ERC au Congrès)
La Guardia Civil a ouvert une enquête à partir des déclarations et positions publiques prises par 31 personnes accusées de "crime de sédition" suite aux manifestations du 20 septembre devant les portes du ministère de l'économie pendant une perquisition policière.
Sont accusés les membres du gouvernement et du Bureau du Parlement comme Oriol Junqueras, Carme Forcadell, Joan Josep Nuet (Secrétaire général des Communistes de Catalogne), Anna Simó, Lluís Maria Corominas et Luis Guino. Membres Eulàlia REGUANT, Gabriela Serra, Mireia Boya, Lluís Llach, Roger Torrent, Irene Rigau, Neus Munte, Neus Lloveras, Miquel Buch, Albert Batet, Eduardo Reyes, David Bonvehí, Natalia Figueras, Gérard Gómez, Chakir Le Homran et Albano- Dante Fachin.
Sont également accusés les membres du Congrès , comme Joan Tardà et Gabriel Rufian, les présidents du Parlement Joan Rigol et Núria de Gispert, l'ancien maire de Barcelone Xavier Trias et Francesc Homs, deux conseillers municipaux de l'ERC à Barcelone, Alfred Bosch et Juanjo Puigcorbé, et le député européen Ramon Tremosa.
Selon le rapport de police, elles, ils sont tous impliqué.e.s dans la manifestation du 20 septembre.
Elles/ils sont accusé.e.s d'être en lien avec l'ANC et l'Omnium (deux associations citoyenne indépendantistes et pacifiques), arguant qu'elles/ils arboraient leurs logos, et que des bénévoles des deux associations donnaient des instructions et distribuaient des boissons et de la nourriture pour que personne ne «quittent les lieux».
La liste a même était élargie à 100 personnes, dont Artur Mas, (PDRCat), Marta Rovira (ERC), Anna Gabriel (CUP), Mireia Boya (CUP), Neus Lloveras (Président de l'Association des municipalités pour l'indépendance) ... et Pep Guardiola (entraineur du Manchester City football).
Bref la démocratie selon Madrid.
Sont accusés les membres du gouvernement et du Bureau du Parlement comme Oriol Junqueras, Carme Forcadell, Joan Josep Nuet (Secrétaire général des Communistes de Catalogne), Anna Simó, Lluís Maria Corominas et Luis Guino. Membres Eulàlia REGUANT, Gabriela Serra, Mireia Boya, Lluís Llach, Roger Torrent, Irene Rigau, Neus Munte, Neus Lloveras, Miquel Buch, Albert Batet, Eduardo Reyes, David Bonvehí, Natalia Figueras, Gérard Gómez, Chakir Le Homran et Albano- Dante Fachin.
Sont également accusés les membres du Congrès , comme Joan Tardà et Gabriel Rufian, les présidents du Parlement Joan Rigol et Núria de Gispert, l'ancien maire de Barcelone Xavier Trias et Francesc Homs, deux conseillers municipaux de l'ERC à Barcelone, Alfred Bosch et Juanjo Puigcorbé, et le député européen Ramon Tremosa.
Selon le rapport de police, elles, ils sont tous impliqué.e.s dans la manifestation du 20 septembre.
Elles/ils sont accusé.e.s d'être en lien avec l'ANC et l'Omnium (deux associations citoyenne indépendantistes et pacifiques), arguant qu'elles/ils arboraient leurs logos, et que des bénévoles des deux associations donnaient des instructions et distribuaient des boissons et de la nourriture pour que personne ne «quittent les lieux».
La liste a même était élargie à 100 personnes, dont Artur Mas, (PDRCat), Marta Rovira (ERC), Anna Gabriel (CUP), Mireia Boya (CUP), Neus Lloveras (Président de l'Association des municipalités pour l'indépendance) ... et Pep Guardiola (entraineur du Manchester City football).
Bref la démocratie selon Madrid.