75 ans après la libération d'Auschwitz : Témoignage de Marie-Claude Vaillant-Couturier au procès de Nuremberg
Perspective communiste
Le 28 janvier 1946, le procureur adjoint français Dubost a appelé Marie Claude Vaillant-Couturier à la barre du procès de Nuremberg. Elle fait partie des 49 survivantes sur les 230 françaises qui sont arrivées avec elle dans le camp d'Auschwitz
Reporter photographe à L'Humanité, elle est arrêtée par la police française le 9 février 1942. Elle est déportée à Auschwitz-Birkenau via le camp d’internement de Compiègne par le convoi du 24 janvier 1943, dit convoi des « 31 000 » (un convoi de 230 femmes, résistantes, communistes, gaullistes, épouses de résistants, qui s'illustre en entonnant La Marseillaise en franchissant l'entrée du camp d’Auschwitz-Birkenau).
Elle sera tatouée comme numéro 31 685.
Marie-Claude Vaillant-Couturier rentrera en France le 25 juin 1945 et deviendra députée du Parti Communiste Français.
Elle sera tatouée comme numéro 31 685.
Marie-Claude Vaillant-Couturier rentrera en France le 25 juin 1945 et deviendra députée du Parti Communiste Français.