À Villejuif, l’union anticommuniste des quatre semble se fissurer
Perspective communiste
Le maire de Villejuif n’est pas encore officiellement élu que déjà, les premières difficultés se profilent
Jean-François Harel n’aura vraisemblablement aucun poste d’adjoint au sein du nouveau conseil municipal. Candidat UDI au premier tour des élections municipales, il avait fait alliance pour le second avec l’UMP Franck Le Bohellec, le DVG Philippe Vidal et l’écologiste Natalie Gandais.
C’est cette liste d’union citoyenne (48,69%) qui a mis en échec Claudine Cordillot, maire communiste sortante (43,52%), dimanche 30 mars. Seulement voilà, «je ne suis plus dans la boucle», confie Jean-François Harel à la veille du conseil municipal d’installation, prévu ce samedi à 16 heures. «Jeudi, j’ai contacté les membres de nos listes respectives afin de procéder à un vote, explique-t-il.
A eux de choisir démocratiquement qui ils veulent pour maire.» «Dès le départ, nous avions convenu d’élire celui de nous quatre qui avait obtenu le meilleur score au premier tour», rappelle Franck Le Bohellec, arrivé premier selon ce critère.
Au final, Jean-François Harel pourrait tout simplement être absent de l’exécutif. Réponse ce samedi.
C’est cette liste d’union citoyenne (48,69%) qui a mis en échec Claudine Cordillot, maire communiste sortante (43,52%), dimanche 30 mars. Seulement voilà, «je ne suis plus dans la boucle», confie Jean-François Harel à la veille du conseil municipal d’installation, prévu ce samedi à 16 heures. «Jeudi, j’ai contacté les membres de nos listes respectives afin de procéder à un vote, explique-t-il.
A eux de choisir démocratiquement qui ils veulent pour maire.» «Dès le départ, nous avions convenu d’élire celui de nous quatre qui avait obtenu le meilleur score au premier tour», rappelle Franck Le Bohellec, arrivé premier selon ce critère.
Au final, Jean-François Harel pourrait tout simplement être absent de l’exécutif. Réponse ce samedi.