Abhimanyu, 15 ans, poignardé à mort parce qu'il était communiste
Perspective communiste
Abhimanyu n'avait que 15 ans lorsqu'il est tombé sous les coups de poignard des assassins du Rashtriya Swayamsevak Sangh (organisation hindoue d'extrême droite dont l'expression politique est incarnée par le BJP de Narendra Modi).
Abhimanyu, jeune militant à la SFI, organisation étudiante du Parti Communiste d'Inde (Marxiste), a été assassiné dans le temple de Vallikunnam Padayanivettam en pleine fête religieuse de Vishu.
Le Kerala se réveille une fois de plus endeuillé et en colère.
Article et traduction Nico Maury
Abhimanyu, 15 ans, jeune militant à la Fédération des Etudiant.e.s d'Inde (SFI), est tombé sous les coups de poignard des nationalistes hindous. Le meurtre a eu lieu pendant le festival Vishu, dans l'enceinte sacrée du temple Vallikunnam Padayanivettam.
L'attaque a eu lieu à 21h45. Les assaillants sont venus chercher le frère aîné d'Abhimanyu, Ananthu, un militant de la Fédération démocratique de la jeunesse d'Inde (DYFI), et ils ont tué Abhimanyu à sa place.
Kashinathan (16 ans) et Adarsh (16 ans), tous deux résidents de Vallikunnam, ont également été poignardés. À Vallikunnam, les sbires du RSS-BJP déchaînent continuellement des violences contre les militant.e.s communistes.
La SFI demande à la police de mener une enquête sur l'incident et exhorte toutes les sections démocratiques du pays à se lever contre les criminels assoiffés de sang du RSS. La SFI appelle également toutes ses unités militantes à organiser des manifestations à l'échelle nationale contre le meurtre brutal du jeune militant étudiant.
L'attaque a eu lieu à 21h45. Les assaillants sont venus chercher le frère aîné d'Abhimanyu, Ananthu, un militant de la Fédération démocratique de la jeunesse d'Inde (DYFI), et ils ont tué Abhimanyu à sa place.
Kashinathan (16 ans) et Adarsh (16 ans), tous deux résidents de Vallikunnam, ont également été poignardés. À Vallikunnam, les sbires du RSS-BJP déchaînent continuellement des violences contre les militant.e.s communistes.
La SFI demande à la police de mener une enquête sur l'incident et exhorte toutes les sections démocratiques du pays à se lever contre les criminels assoiffés de sang du RSS. La SFI appelle également toutes ses unités militantes à organiser des manifestations à l'échelle nationale contre le meurtre brutal du jeune militant étudiant.