Agression fasciste, hier, contre le siège de la Fédération du PCF 13
Nicolas Maury
Quelques heures avant de fêter, hier, à sa manière le 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin (exposition, débats), la fédération départementale du Parti Communiste, rue de Lyon à Marseille (15e ) a reçu dans l'après-midi la visite de l'UNI dont certains membres étaient armés
Communiqué de presse de Pierre Dharréville
Cet après-midi, un groupe de l’UNI, mouvement de droite universitaire, dont certains membres étaient armés, est entré dans la fédération des Bouches-du-Rhône du PCF pour mener une opération d’anticommunisme primaire.
Cet après-midi, un groupe de l’UNI, mouvement de droite universitaire, dont certains membres étaient armés, est entré dans la fédération des Bouches-du-Rhône du PCF pour mener une opération d’anticommunisme primaire.
Cet après-midi, un groupe de l’UNI, mouvement de droite universitaire, dont certains membres étaient armés, est entré dans la fédération des Bouches-du-Rhône du PCF pour mener une opération d’anticommunisme primaire.
Cet après-midi, un groupe de l’UNI, mouvement de droite universitaire, dont certains membres étaient armés, est entré dans la fédération des Bouches-du-Rhône du PCF pour mener une opération d’anticommunisme primaire.
Il va de soi que nous ne nous laisserons pas intimider ou menacer.
Née en réaction au mouvement social de mai 1968, l’UNI cause depuis des décennies le trouble sur les campus, agressant un grand nombre d’étudiants et enseignants progressistes.
Mais l’UNI, connue pour ses accointances avec la droite dure, n’est pas qu’une sorte de milice au service des idées les plus réactionnaires, c’est aussi la pouponnière de la droite d’aujourd’hui, qui soutient sans faille le président de la République.
Ce sont donc bien des émissaires liés à l’UMP et à Nicolas Sarkozy qui ont menacé à l’aide d’un couteau des militantes communistes, engagées au quotidien pour l’émancipation humaine, une société de justice sociale, la démocratie et la liberté d’opinion. Ils n’ont fait que traduire en actes la haine qui se cache derrière de nombreux discours en cette période.
Au nom de tous les communistes du département, je condamne solennellement l’agression de cet après-midi et porte plainte contre ces délinquants de la démocratie qui, à quelques heures de notre initiative pour le 20ème anniversaire de la chute du Mur de Berlin, révèle, si cela était nécessaire, où se trouve l’intolérance et la violence dans la France du XXIème siècle.
Née en réaction au mouvement social de mai 1968, l’UNI cause depuis des décennies le trouble sur les campus, agressant un grand nombre d’étudiants et enseignants progressistes.
Mais l’UNI, connue pour ses accointances avec la droite dure, n’est pas qu’une sorte de milice au service des idées les plus réactionnaires, c’est aussi la pouponnière de la droite d’aujourd’hui, qui soutient sans faille le président de la République.
Ce sont donc bien des émissaires liés à l’UMP et à Nicolas Sarkozy qui ont menacé à l’aide d’un couteau des militantes communistes, engagées au quotidien pour l’émancipation humaine, une société de justice sociale, la démocratie et la liberté d’opinion. Ils n’ont fait que traduire en actes la haine qui se cache derrière de nombreux discours en cette période.
Au nom de tous les communistes du département, je condamne solennellement l’agression de cet après-midi et porte plainte contre ces délinquants de la démocratie qui, à quelques heures de notre initiative pour le 20ème anniversaire de la chute du Mur de Berlin, révèle, si cela était nécessaire, où se trouve l’intolérance et la violence dans la France du XXIème siècle.