Alberto Garzón (Izquierda Unida) remporte les primaires d'Ahora en Común
Perspective communiste
Le jeune député communiste Alberto Garzón (Izquierda Unida/PCE) vient de remporter très largement les primaires de la coalition progressiste Ahora en Común. C'est lui qui conduira la liste et sera candidat au poste de Premier ministre - article et traduction Nico Maury
Selon des données provisoires, Alberto Garzón remporte 23.712 suffrages sur les 24.615 votes exprimés lors des primaires de la coalition Ahora en Común (sur internet et en urne). Alberto Garzón sera le leader national de la liste et le candidat officiel pour le poste de premier ministre.
A plusieurs reprises, Alberto Garzón a exprimé son désir de ne pas être juste le candidat d'Izquierda Unida, mais de toute l'organisation d'unité populaire Ahora en Común.
14 candidats étaient en lise à la primaire d'Ahora en Común. Le rival de Garzón, Miguel Angel Vazquez, ne recueillant que 305 votes.
Des élections internes se tenaient aussi dans les provinces d'Espagne. Dans la circonscription de Madrid, les résultats ont donné le leadership à Enrique Santiago (Izquierda Unida), Sol Sanchez, Présidente d'Attac Espagne, Alberto Sotillos (ex-PSOE), Begoña Marugan, militante féministe et professeur à l'Université Carlos III de Madrid, Victor Rocafort, professeur de théorie politique, José Abelardo Andres Llamas (ancien dirigeant de la fédération dissoute d'Izquierda Unida Madrid).
Podemos, en perte de vitesse, refuse l'unité populaire
Alors que Podemos recul inexorablement dans les sondages (crédité de 14% en septembre 2015) et que Izquierda Unida remonte (6,5% sur la même période), le parti de Pablo Iglésias avait mis fin aux négociations visant a créer des listes d'unités populaires pour les élections générales du 20 décembre.
Pour Izquierda unida, Pablo Iglésas n'a jamais soutenue l'idée de construire des listes qui permettent la convergence des forces politiques et citoyennes, comme à Madrid, Barcelone et aux municipales. Le but de Podemos était de faire éclater IU.
Les deux formations finalement concourront séparément, sauf en Catalogne (négociation en cours entre Podem et ICV-EUiA) et en Galice, où des coalitions se sont établies avec d'autres partis.
A plusieurs reprises, Alberto Garzón a exprimé son désir de ne pas être juste le candidat d'Izquierda Unida, mais de toute l'organisation d'unité populaire Ahora en Común.
14 candidats étaient en lise à la primaire d'Ahora en Común. Le rival de Garzón, Miguel Angel Vazquez, ne recueillant que 305 votes.
Des élections internes se tenaient aussi dans les provinces d'Espagne. Dans la circonscription de Madrid, les résultats ont donné le leadership à Enrique Santiago (Izquierda Unida), Sol Sanchez, Présidente d'Attac Espagne, Alberto Sotillos (ex-PSOE), Begoña Marugan, militante féministe et professeur à l'Université Carlos III de Madrid, Victor Rocafort, professeur de théorie politique, José Abelardo Andres Llamas (ancien dirigeant de la fédération dissoute d'Izquierda Unida Madrid).
Podemos, en perte de vitesse, refuse l'unité populaire
Alors que Podemos recul inexorablement dans les sondages (crédité de 14% en septembre 2015) et que Izquierda Unida remonte (6,5% sur la même période), le parti de Pablo Iglésias avait mis fin aux négociations visant a créer des listes d'unités populaires pour les élections générales du 20 décembre.
Pour Izquierda unida, Pablo Iglésas n'a jamais soutenue l'idée de construire des listes qui permettent la convergence des forces politiques et citoyennes, comme à Madrid, Barcelone et aux municipales. Le but de Podemos était de faire éclater IU.
Les deux formations finalement concourront séparément, sauf en Catalogne (négociation en cours entre Podem et ICV-EUiA) et en Galice, où des coalitions se sont établies avec d'autres partis.