Alexis Tsipras remporte son vote de confiance au Parlement
Perspective communiste
Le gouvernement d'Alexis Tsipras tiendra donc jusqu'en octobre (date des prochaines élections générales) et ceux malgré la crise politique qui découle de l’accord conclu avec le premier ministre macédonien sur le changement de nom de la Macédoine et son intégration dans l'Union européenne et l'OTAN
Sur les 300 député.e.s de la Vouli, 151 ont voté en faveur du gouvernement Tsipras, dont les 145 députés de son parti de "gôche" Syriza, ainsi que quatre élus indépendants et deux dissidents du petit parti souverainiste ANEL. 148 député.e.s ont exprimé leur défiance envers le premier ministre, selon le décompte officiel.
Le Parti Communiste Grec a voté contre le gouvernement pour des raisons politiques évidentes (austérité, répression syndicale, interdiction du droit de grève, alignement sur les mémorandum européens ...) et pour dénoncer les plans impérialistes de l'Union européenne et de l'OTAN en direction des balkans.
Dans son intervention au parlement, le Secrétaire général du KKE, Dimítris Koutsoúmbas, démonte les pièges du nationalisme (en grec) sur la question macédonienne.
Le Parti Communiste Grec a voté contre le gouvernement pour des raisons politiques évidentes (austérité, répression syndicale, interdiction du droit de grève, alignement sur les mémorandum européens ...) et pour dénoncer les plans impérialistes de l'Union européenne et de l'OTAN en direction des balkans.
Dans son intervention au parlement, le Secrétaire général du KKE, Dimítris Koutsoúmbas, démonte les pièges du nationalisme (en grec) sur la question macédonienne.