Au Bengale (Inde), les communistes viennent au secours des habitant.e.s abandonné.e.s par l'Etat
Perspective communiste
Le gouvernement du Bengale Occidental, comme du gouvernement central, laisse des centaines, des milliers de personnes dans le besoin du fait de la pandémie de coronavirus et du passage d'un cyclone dévastateur.
Les membres du Parti Communiste d'Inde (Marxiste), et des organisations de masse affiliées, s'organisent pour mettre en place la solidarité et pour venir en aide aux plus démunies. Ces "red volunteers" se déploient partout où il y a une urgence.
Article et traduction Nico Maury
Le CPI(M) est engagé partout où la population en a besoin en ces temps difficiles de pandémie de coronavirus et de cyclone.
21 jours sont passés depuis le passage du cyclone dévastateur "Amphan" et dans de nombreux endroits du Bengale Occidental, le gouvernement de l'Etat et central est absent.
Dans le village de Kulpi (2000 habitant.e.s), aucune personne n’a reçu d'aide du gouvernement du Bengale occidental. Il pleut tous les jours depuis l(arrivée de la mousson, et les personnes sans-abri se sont rassemblées le bureau du Block Development Officer à Kulpi pour obtenir des bâches et de l'aide. Le CPI (M) les accompagne pour obtenir une aide immédiat pour ces personnes.
Le 14 juin, les membres du CPI(M) de la ville de Burdhwan ont organisé un "marché pour la classe ouvrière". Un marché éphémère bien organisé où plus de 365 personnes issue de la classe ouvrière ont reçu des paniers alimentaires composés de 14 types de différents produits essentiels de la vie quotidienne (œufs, légumes,riz, etc).
Les militant.e.s de la SFI et de la DYFI - branches étudiantes et jeunesses du CPI(M) - se sont rendus dans les régions touchées par le cyclone pour distribuer des stylos, des crayons aux enfants, de la nourriture sous vide, des vêtements pour aider les personnes victimes de la pandémie et du cyclone Amphan. Ils ont également mis en place une cuisine communautaire pour les habitants des villages reculés qui sont presque entièrement submergés après le passage du cyclone.
Le 10 juin, des équipes ont été constituées pour venir en aide dans des villages reculés du nord du Pargana et dans des villages reculés de East Mediniur. A la tête de ces équipes se trouvent des dirigeants de premier plan de la SFI et de la DYFI du West Bengal.
Plusieurs manifestations sont organisées pour dénoncer l'absence des gouvernements face à la pandémie et au cyclone.
21 jours sont passés depuis le passage du cyclone dévastateur "Amphan" et dans de nombreux endroits du Bengale Occidental, le gouvernement de l'Etat et central est absent.
Dans le village de Kulpi (2000 habitant.e.s), aucune personne n’a reçu d'aide du gouvernement du Bengale occidental. Il pleut tous les jours depuis l(arrivée de la mousson, et les personnes sans-abri se sont rassemblées le bureau du Block Development Officer à Kulpi pour obtenir des bâches et de l'aide. Le CPI (M) les accompagne pour obtenir une aide immédiat pour ces personnes.
Le 14 juin, les membres du CPI(M) de la ville de Burdhwan ont organisé un "marché pour la classe ouvrière". Un marché éphémère bien organisé où plus de 365 personnes issue de la classe ouvrière ont reçu des paniers alimentaires composés de 14 types de différents produits essentiels de la vie quotidienne (œufs, légumes,riz, etc).
Les militant.e.s de la SFI et de la DYFI - branches étudiantes et jeunesses du CPI(M) - se sont rendus dans les régions touchées par le cyclone pour distribuer des stylos, des crayons aux enfants, de la nourriture sous vide, des vêtements pour aider les personnes victimes de la pandémie et du cyclone Amphan. Ils ont également mis en place une cuisine communautaire pour les habitants des villages reculés qui sont presque entièrement submergés après le passage du cyclone.
Le 10 juin, des équipes ont été constituées pour venir en aide dans des villages reculés du nord du Pargana et dans des villages reculés de East Mediniur. A la tête de ces équipes se trouvent des dirigeants de premier plan de la SFI et de la DYFI du West Bengal.
Plusieurs manifestations sont organisées pour dénoncer l'absence des gouvernements face à la pandémie et au cyclone.