Bolivie : Ultimatum des organisations sociales et ouvrières aux putschistes
Perspective communiste
Evo Morales n'est pas seul, la résistance s'organise autour du MAS contre le coup d'état. Plusieurs organisations sociales et syndicales ont donné un ultimatum à Luis Fernando Camacho pour qu'il quitte le siège du gouvernement et ont demandé à la police et aux forces armées de garantir l'intégrité physique du président Evo Morales - article et traduction Nico Maury
Les producteurs de coca se sont réunis hier à Ivirgarzama (département du Cochabamba) et ont décidé de condamner le coup d'État contre le président Morales. Ils ont également demandé aux forces armées et à la police de garantir l'intégrité physique du chef de l'État.
La Fédération Carrasco du tropique de Cochabamba (cocaleros) laissent 24 heures à Luis Fernando Camacho pour quitter le siège du Gouvernement.
Les producteurs de coca ont également ordonnés aux partis politiques représentés à l'Assemblée législative de participer au dialogue évoqué par Morales.
La Confédération syndicale unique des ouvriers et paysans de Bolivie (CSUTCB) a expulsé un de ses dirigeant rallié à Camacho. Elle ordonne à ses fédérations d'assiéger la ville de La Paz.
De son côté, le représentant des paysan.e.ss de Tarija, Osvaldo Fernández, a rappelé le soutien de ce secteur au président Morales.
La Fédération Carrasco du tropique de Cochabamba (cocaleros) laissent 24 heures à Luis Fernando Camacho pour quitter le siège du Gouvernement.
Les producteurs de coca ont également ordonnés aux partis politiques représentés à l'Assemblée législative de participer au dialogue évoqué par Morales.
La Confédération syndicale unique des ouvriers et paysans de Bolivie (CSUTCB) a expulsé un de ses dirigeant rallié à Camacho. Elle ordonne à ses fédérations d'assiéger la ville de La Paz.
De son côté, le représentant des paysan.e.ss de Tarija, Osvaldo Fernández, a rappelé le soutien de ce secteur au président Morales.