Carles Puigdemont a été interpellé en Allemagne
Perspective communiste
S'il regagnait l'Espagne, Carles Puigdemont serait passible d'une peine allant jusqu'à 30 ans de prison pour "rébellion" et "sédition" pour son rôle dans l'organisation d'un référendum démocratique sur la sécession de la Catalogne
Carles Puigdemont a été arrêté en Allemagne, dimanche 25 mars.
Le Président de Catalogne fait l'objet d'un mandat international émis par l'Espagne. Depuis plusieurs semaines, il vit en exil en Belgique. Il s'était rendu en Finlande, jusqu'à samedi 24 mars, pour y rencontrer des député.e.s et participer à une conférence.
S'il regagnait l'Espagne, Carles Puigdemont serait passible d'une peine allant jusqu'à 30 ans de prison pour "rébellion" et "sédition" pour son rôle dans l'organisation d'un référendum démocratique (mais interdit) sur l’autodétermination de la Catalogne l'an dernier.
Vendredi 23 mars, le juge de la Cour suprême chargé de l'enquête sur la tentative de sécession d'octobre a inculpé 25 responsables séparatistes, dont 13 pour "rébellion", une infraction passible d'un maximum de trente ans de prison.
Le Président de Catalogne fait l'objet d'un mandat international émis par l'Espagne. Depuis plusieurs semaines, il vit en exil en Belgique. Il s'était rendu en Finlande, jusqu'à samedi 24 mars, pour y rencontrer des député.e.s et participer à une conférence.
S'il regagnait l'Espagne, Carles Puigdemont serait passible d'une peine allant jusqu'à 30 ans de prison pour "rébellion" et "sédition" pour son rôle dans l'organisation d'un référendum démocratique (mais interdit) sur l’autodétermination de la Catalogne l'an dernier.
Vendredi 23 mars, le juge de la Cour suprême chargé de l'enquête sur la tentative de sécession d'octobre a inculpé 25 responsables séparatistes, dont 13 pour "rébellion", une infraction passible d'un maximum de trente ans de prison.