Catalogne : La Guardia Civil lance une opération contre les CDR, plusieurs arrestations confirmées
Perspective communiste
Pour avoir bloqués des routes et protestés pacifiquement contre la répression politique en Catalogne, les Comités de Défense de la République (CDR) sont visés par la "justice" espagnole pour "terrorisme", "sédition" et "rébellion". 6 arrestations sont confirmées - article et traduction Nico Maury
La Cour nationale espagnole a lancé une opération contre les Comités de défense de la République (CDR) ce matin et, pour le moment, la Guardia civil a arrêté au moins deux personnes au motif de "terrorisme", de "sédition" et de "rébellion" . Ils sont accusés d'avoir coupés des routes, rendus gratuit les péages pendant la semaine sainte de pâque.
Les détenu.e.s viennentt d'Esplugues de Llobregat l'autre de Viladecans, elles et ils sont accusé.e.s d'être les dirigeants des actions menées lors du #novullpagar promu par les CDR.
Parallèlement, les Mossos ont arrêté quatre autres membres des CDR de Malgrat de Mar, Arenys de Munt, Dosrius Solsona. Ils sont accusés de violences contre la police devant le Parlement le 30 Janvier.
La semaine dernière, le procureur général de la Cour nationale espagnole a informé qu'il agirait "avec force" contre les activités de ces groupes. Après les attaques contre les dirigeants de la société civile (Jordi Sanchez, Jordi Cuixart), contre les dirigeant.e.s politiques enfermé.e.s en prison où contraint.e.s à l'exil, contre le Parlement catalan empêché de choisir son exécutif, la justice espagnol engage un nouveau combat contre les CDR.
Et avec le silence complice de l'Union européenne.
Les détenu.e.s viennentt d'Esplugues de Llobregat l'autre de Viladecans, elles et ils sont accusé.e.s d'être les dirigeants des actions menées lors du #novullpagar promu par les CDR.
Parallèlement, les Mossos ont arrêté quatre autres membres des CDR de Malgrat de Mar, Arenys de Munt, Dosrius Solsona. Ils sont accusés de violences contre la police devant le Parlement le 30 Janvier.
La semaine dernière, le procureur général de la Cour nationale espagnole a informé qu'il agirait "avec force" contre les activités de ces groupes. Après les attaques contre les dirigeants de la société civile (Jordi Sanchez, Jordi Cuixart), contre les dirigeant.e.s politiques enfermé.e.s en prison où contraint.e.s à l'exil, contre le Parlement catalan empêché de choisir son exécutif, la justice espagnol engage un nouveau combat contre les CDR.
Et avec le silence complice de l'Union européenne.