"Ce n'est que par les actions du gouvernement, que l'on peut réglementer les prix et progressivement mettre un terme à la folie de la spéculation capitaliste"
Perspective communiste
Le gouvernement du Venezuela va forcer le contrôle sur les fabricants pour réduire les prix des produits socialement importants - traduction Nico Maury
"Ce n'est que par les actions du gouvernement, que l'on peut réglementer les prix et progressivement mettre un terme à la folie de la spéculation capitaliste" a déclaré le leader de la révolution bolivarienne à la télévision nationale.
Le Venezuela commence à agir avec "la loi des justes prix", qui vise à lutter contre la spéculation. Conformément à la norme légale dans le pays, il a été créé par un organisme spécial du gouvernement qui contrôle le prix des denrées essentielles, ainsi qu'une inspection spéciale, qui est chargé de surveiller les strictes dispositions de la loi.
Comme une première étape vers son application en Novembre, les autorités ont gelé le prix de deux douzaines de produits de première nécessité. Les prix ont déjà été réduit de 5% à 25%.
Répondant aux déclarations de certains économistes qui souhaitent que le pays doit agir pour un marché prétendument libre, Chavez a déclaré: "Les besoins du marché libre de la bourgeoisie sont de voler les gens, de voler des travailleurs et ainsi s'enrichir." Selon lui, avec l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, "le Venezuela est à l'avant-garde de la lutte contre le capitalisme, dévoreur de vie, du peuple et de la nature."
Le Venezuela commence à agir avec "la loi des justes prix", qui vise à lutter contre la spéculation. Conformément à la norme légale dans le pays, il a été créé par un organisme spécial du gouvernement qui contrôle le prix des denrées essentielles, ainsi qu'une inspection spéciale, qui est chargé de surveiller les strictes dispositions de la loi.
Comme une première étape vers son application en Novembre, les autorités ont gelé le prix de deux douzaines de produits de première nécessité. Les prix ont déjà été réduit de 5% à 25%.
Répondant aux déclarations de certains économistes qui souhaitent que le pays doit agir pour un marché prétendument libre, Chavez a déclaré: "Les besoins du marché libre de la bourgeoisie sont de voler les gens, de voler des travailleurs et ainsi s'enrichir." Selon lui, avec l'entrée en vigueur de la nouvelle loi, "le Venezuela est à l'avant-garde de la lutte contre le capitalisme, dévoreur de vie, du peuple et de la nature."