Décès d'Anatoly Ivanovich Lukyanov, dernier Président du Soviet suprême d'URSS
Perspective communiste
Opposant au traître Mikhaïl Gorbatchev et à l'infâme Boris Eltsine, Anatoly Ivanovich Lukyanov s'est battu toute sa vie pour le communisme et l'héritage de l'Union soviétique. Il fut le dernier Président du Soviet Suprême de l'URSS et un acteur actif pour protéger l'Union soviétique et ses acquis - article et traduction Nico Maury
Anatoly Ivanovich Lukyanov, 88 ans, est mort des suites d'une longue maladie. Né le 7 mai 1930 à Smolensk, il s'engage (à 11 ans) dans les usines de production d'armement suite à l'invasion de l'URSS par les forces de l'Axe. Il fait parti de ces milliers "d'enfants de la guerre" qui seront engagés pour produire des armes et munitions pour l'armée rouge.
En 1948, après avoir terminé ses études secondaires avec brio, il entre à la faculté de droit de l'Université d'État de Moscou. Après ses études, il devient membre de la commission juridique du Conseil des ministres de l'URSS. Il travaille ensuite en Hongrie et en Pologne, puis pour le Présidium du Soviet suprême d'URSS. Ayant fait ses preuves en tant que brillant spécialiste, il participe à la rédaction de la nouvelle constitution soviétique, adoptée en 1977.
En 1984, Loukianov est élu député au Soviet suprême de l'URSS. Depuis 1986, il occupe des postes élevés tant au Soviet qu'au Parti communiste où il est élu Secrétaire du Comité central du PCUS, et en 1988, devient candidat au poste de membre du Politburo du Comité central du PCUS. En 1990, il prend la tête du Soviet suprême de l'URSS après la nomination du traître Mikhaïl Gorbatchev à la tête du l'Union soviétique.
Fidèle aux idées communistes et à l'Union soviétique
Au cours des événements de août 1991, il soutient le Comité d'État pour l'état d'urgence contre Mikhaïl Gorbatchev et sa Perestroïka. Lorsque la clique de Boris Eltsine s'empare du pouvoir en Russie, A.I. Loukianov est arrêté illégalement et passe plus d'un an en prison pour des accusations absurdes. Après sa libération, Anatoly Loukianov prend une part active à la renaissance du Parti communiste en Russie et devient membre du Présidium du Comité central du Parti communiste de la Fédération de Russie (KPRF) fondé en 1993.
Entre 1993 et 2003, depuis sa région natale de Smolensk, il a été élu à trois reprises membre de la Douma d'Etat et préside le Comité parlementaire sur la législation et la réforme judiciaire et juridique. Pendant ses mandatures, il a mené le combat pour protéger les droits des travailleurs et travailleuses.
En 1948, après avoir terminé ses études secondaires avec brio, il entre à la faculté de droit de l'Université d'État de Moscou. Après ses études, il devient membre de la commission juridique du Conseil des ministres de l'URSS. Il travaille ensuite en Hongrie et en Pologne, puis pour le Présidium du Soviet suprême d'URSS. Ayant fait ses preuves en tant que brillant spécialiste, il participe à la rédaction de la nouvelle constitution soviétique, adoptée en 1977.
En 1984, Loukianov est élu député au Soviet suprême de l'URSS. Depuis 1986, il occupe des postes élevés tant au Soviet qu'au Parti communiste où il est élu Secrétaire du Comité central du PCUS, et en 1988, devient candidat au poste de membre du Politburo du Comité central du PCUS. En 1990, il prend la tête du Soviet suprême de l'URSS après la nomination du traître Mikhaïl Gorbatchev à la tête du l'Union soviétique.
Fidèle aux idées communistes et à l'Union soviétique
Au cours des événements de août 1991, il soutient le Comité d'État pour l'état d'urgence contre Mikhaïl Gorbatchev et sa Perestroïka. Lorsque la clique de Boris Eltsine s'empare du pouvoir en Russie, A.I. Loukianov est arrêté illégalement et passe plus d'un an en prison pour des accusations absurdes. Après sa libération, Anatoly Loukianov prend une part active à la renaissance du Parti communiste en Russie et devient membre du Présidium du Comité central du Parti communiste de la Fédération de Russie (KPRF) fondé en 1993.
Entre 1993 et 2003, depuis sa région natale de Smolensk, il a été élu à trois reprises membre de la Douma d'Etat et préside le Comité parlementaire sur la législation et la réforme judiciaire et juridique. Pendant ses mandatures, il a mené le combat pour protéger les droits des travailleurs et travailleuses.