Die Linke propose à Carles Puigdemont une "résidence permanente" en Allemagne
Perspective communiste
La députée de Die Linke, Zaklin Nastic, explique dans une note rédigée sur son blog, que Die Linke peut offrir au Président une résidence en Allemagne le temps que se déroule la procédure judiciaire contre lui - article et traduction Nico Maury
Zaklin Nastic et Diether Dehm, député.e.s au Bundestag, ont rendu visite à Carles Puigdemont à la prison de Neumünster. Le parti de gauche allemand, Die Linke, a offert au président une "résidence permanente" en Allemagne au cas où il doit justifier résidence permanente en Allemagne pendant sa procédure judiciaire d'extradition.
Dans son blog, la députée Zaklin Nastic explique qu'une résidence permanente pourrait aider Carles Puigdemont à réduire le "risque d'évasion" si le juge envisage de maintenir une incarcération par mesure de précaution.
La parlementaire a fait remarquer que Carles Puigdemont n'est pas "un criminel" mais un politicien qui "défend les droits démocratiques fondamentaux et les droits de l'Homme". La députée de Die Linke a transmis à Carles Puigdemont la solidarité de son parti avec sa cause et de le voir libéré "immédiatement".
Les salutations de de Sahra Wagenknecht et Dietmar Bartsch ont été transmise et la députée rajoute : "Le dernier représentant catalan fut Lluis Companys, arrêté par la Gestapo en octobre 1940, extradé vers l'Espagne de Franco et immédiatement assassiné. Poussé par cela, le gouvernement fédéral ne devrait pas unilatéralement se ranger du côté le régime autocratique Rajoy".
Dans son blog, la députée Zaklin Nastic explique qu'une résidence permanente pourrait aider Carles Puigdemont à réduire le "risque d'évasion" si le juge envisage de maintenir une incarcération par mesure de précaution.
La parlementaire a fait remarquer que Carles Puigdemont n'est pas "un criminel" mais un politicien qui "défend les droits démocratiques fondamentaux et les droits de l'Homme". La députée de Die Linke a transmis à Carles Puigdemont la solidarité de son parti avec sa cause et de le voir libéré "immédiatement".
Les salutations de de Sahra Wagenknecht et Dietmar Bartsch ont été transmise et la députée rajoute : "Le dernier représentant catalan fut Lluis Companys, arrêté par la Gestapo en octobre 1940, extradé vers l'Espagne de Franco et immédiatement assassiné. Poussé par cela, le gouvernement fédéral ne devrait pas unilatéralement se ranger du côté le régime autocratique Rajoy".