Disparition de Serge Tarassioux
Perspective communiste
Pierre Laurent
Secrétaire national du PCF
La brutale disparition la nuit dernière de Serge Tarassioux, maire de Pierre-Bénite, est une terrible et bouleversante nouvelle.Serge était un élu, un dirigeant communiste qui donnait tout, toute sa sensibilité, toute son intelligence, et tout son temps, du temps dont il n'en avait jamais assez pour mettre en œuvre tous les projets qu'il nourrissait.
Ancien responsable de l'Union des étudiants communistes à Lyon, Serge avait aussi été membre du secrétariat national et rédacteur-en-chef de Clarté ; il a joué un rôle central dans les campagnes de l'UEC des années 1990 pour un enseignement supérieur de haut niveau pour tous. Et devenu maire, Serge, profondément épris de justice sociale, avait ce niveau d'ambition pour tous les habitants de sa commune dont il était très proche.
Ces dernières années, il s'était particulièrement engagé dans le développement du rassemblement populaire et celui des forces de gauche et de progrès ; une qualité qui lui était unanimement reconnue. Lors des élections municipales et du récent scrutin des cantonales, il avait encore initié en matière de pratiques politiques permettant de rapprocher toujours plus les citoyens de l'exercice démocratique du pouvoir.Je ne peux oublier l'esprit vif, l'humour et cette perspicacité qui distinguaient Serge qui était surtout très humble.
Serge Tarassioux était de ceux qui faisaient l'avenir du PCF, il laisse un vide immense.Je veux dire aux habitants de Pierre-Bénite qu'ils pourront compter sur les communistes pour poursuivre le travail entrepris par Serge au service de la population de la ville ; je veux dire toute mon affection aux communistes du Rhône et à leur responsable départementale Danielle Lebail.
Serge avait 41 ans, il était père d'un petit garçon, Valentin, et c'est à lui que vont mes premières pensées.J'adresse à ses parents, à son frère Sacha, à Julie, la mère de Valentin, à sa compagne Carine et à tous ses amis et camarades, mes plus sincères condoléances et je tiens à les assurer de toute mon affection et de mon fidèle soutien.
Ancien responsable de l'Union des étudiants communistes à Lyon, Serge avait aussi été membre du secrétariat national et rédacteur-en-chef de Clarté ; il a joué un rôle central dans les campagnes de l'UEC des années 1990 pour un enseignement supérieur de haut niveau pour tous. Et devenu maire, Serge, profondément épris de justice sociale, avait ce niveau d'ambition pour tous les habitants de sa commune dont il était très proche.
Ces dernières années, il s'était particulièrement engagé dans le développement du rassemblement populaire et celui des forces de gauche et de progrès ; une qualité qui lui était unanimement reconnue. Lors des élections municipales et du récent scrutin des cantonales, il avait encore initié en matière de pratiques politiques permettant de rapprocher toujours plus les citoyens de l'exercice démocratique du pouvoir.Je ne peux oublier l'esprit vif, l'humour et cette perspicacité qui distinguaient Serge qui était surtout très humble.
Serge Tarassioux était de ceux qui faisaient l'avenir du PCF, il laisse un vide immense.Je veux dire aux habitants de Pierre-Bénite qu'ils pourront compter sur les communistes pour poursuivre le travail entrepris par Serge au service de la population de la ville ; je veux dire toute mon affection aux communistes du Rhône et à leur responsable départementale Danielle Lebail.
Serge avait 41 ans, il était père d'un petit garçon, Valentin, et c'est à lui que vont mes premières pensées.J'adresse à ses parents, à son frère Sacha, à Julie, la mère de Valentin, à sa compagne Carine et à tous ses amis et camarades, mes plus sincères condoléances et je tiens à les assurer de toute mon affection et de mon fidèle soutien.