Donald Trump autorise la chasse des ours en hibernation en Alaska
Perspective communiste
J'ai une pensée pour les grands stratèges du bar du commerce (ils se reconnaîtront car ils sévissent encore sur Facebook, je donnerai pas les noms pour ne pas leur donner plus d'importance que cela) qui voyaient en Donald Trump un moindre mal qu'Hillary Clinton. Une fois de plus, après une frappe illégale en Syrie, une menace réelle de guerre en Corée et cette loi, Donald Trump continue d'exprimer sa folie
Donald Trump a encore frappé un grand coup. Et cette fois, ce sont les animaux sauvages qui en font les frais. Le président américain a récemment décidé de légaliser la chasse des ours en hibernation dans l'État d'Alaska. C'est une première pour le pays qui interdisait formellement aux chasseurs des pratiques agressives telles que l'abattage des loups dans leurs repaires avec leurs louveteaux, le repérage des ours grizzly à l'aide d'hélicoptères ou encore le massacre des ours en hibernation.
La signature par Donald Trump du texte de loi approuvé par le Congrès, rend désormais la dernière option parfaitement légale. De quoi rendre furieux les défenseurs des droits des animaux. Cette mesure radicale signe également la fin de l'Alaska National Wildlife Refuges Rule, instauré par le gouvernement Obama, qui interdisait la chasse des animaux sur cette zone protégée. La nouvelle législation a été approuvée par 52 voix contre 47 voix au Congrès. Un faux pas de plus pour l'administration Trump qui semble allonger sa liste d'ennemis de jour en jour.
À lire sur The Independent.
Vanity Fair
La signature par Donald Trump du texte de loi approuvé par le Congrès, rend désormais la dernière option parfaitement légale. De quoi rendre furieux les défenseurs des droits des animaux. Cette mesure radicale signe également la fin de l'Alaska National Wildlife Refuges Rule, instauré par le gouvernement Obama, qui interdisait la chasse des animaux sur cette zone protégée. La nouvelle législation a été approuvée par 52 voix contre 47 voix au Congrès. Un faux pas de plus pour l'administration Trump qui semble allonger sa liste d'ennemis de jour en jour.
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