Evo Morales appelle l'ONU à combattre le capitalisme et à protéger la terre
Perspective communiste
Le président bolivien Evo Morales a appelé lundi les mouvements indigènes du monde entier à combattre le capitalisme et à protéger la Terre nourricière - article et traduction Nico Maury
Lors de la 17ème session du Forum Permanent de l'Organisation des Nations Unies pour les Affaires Indigènes, Evo Morales, Président de la Bolivie déclare que "nous devons lutter contre l'impérialisme, le capitalisme, l'interventionnisme et l'armement. Ces politiques visent à nous mener au génocide. "
Si ces tendances ne sont pas modifiées, la survie des êtres humains ne peut être garantie, car les politiques visant à "accumuler du capital entre quelques mains, et ils ne respectent pas la Terre mère".
Evo Morales exprime l'importance du mouvement indigène dans la promotion d'une vie en harmonie avec la nature et souligne la nécessité de travailler a reconquérir le pouvoir politique.
À cet égard, il appelle davantage de pays à se libérer des contraintes externes de la Banque mondiale ou du Fond monétaire international (FMI).
"Quand nous nous soumettons à la domination étrangère, nous cédons à l'empire américain, c'est le même schéma lorsque nous nous soumettons à la Banque mondiale ou au Fond monétaire international".
Si ces tendances ne sont pas modifiées, la survie des êtres humains ne peut être garantie, car les politiques visant à "accumuler du capital entre quelques mains, et ils ne respectent pas la Terre mère".
Evo Morales exprime l'importance du mouvement indigène dans la promotion d'une vie en harmonie avec la nature et souligne la nécessité de travailler a reconquérir le pouvoir politique.
À cet égard, il appelle davantage de pays à se libérer des contraintes externes de la Banque mondiale ou du Fond monétaire international (FMI).
"Quand nous nous soumettons à la domination étrangère, nous cédons à l'empire américain, c'est le même schéma lorsque nous nous soumettons à la Banque mondiale ou au Fond monétaire international".