Evo Moralès est en sécurité au Mexique
Perspective communiste
Evo Moralès à la suite du putsch était réfugié auprès des siens, chez les cocaleros de Cochabamba. Face aux menaces réelles de la police, des forces armées ralliés aux putschistes et aux cohortes fascistes violentes, Evo Moralès n'avait d'autres choix que de s'enfuir vers un pays ami. C'est le cœur brisé qu'il a annoncé son départ pour le Mexique
Un avion de l'armée de l'air mexicaine transporte Evo Morales au Mexique, après avoir demandé l'asile au gouvernement mexicain.
"Soeurs et frères, je pars pour le Mexique, reconnaissant du soutien du gouvernement de ce peuple frère qui nous a donné l'asile pour prendre soin de nos vies. Cela me fait mal de quitter le pays pour des raisons politiques, mais je serai toujours avec vous. Bientôt, je reviendrai avec plus de force et d'énergie." déclare Evo Moralès sur Twitter.
Face aux violences commises contre les biens d'Evo Moralès (pillage et incendie de sa maison à Villa Victoria) des groupes de vandales putschistes ont cambriolé sa maison à Cochabamba.
Alors que l'armée et la police commence à massacrer les manifestant.e.s opposé.e.s au putsch (au moins deux morts), la sécurité du Président n'était plus assuré en Bolivie. Le pays se dirige vers une guerre civile.
Hermanas y hermanos, parto rumbo a México, agradecido por el desprendimiento del gobierno de ese pueblo hermano que nos brindó asilo para cuidar nuestra vida. Me duele abandonar el país por razones políticas, pero siempre estaré pendiente. Pronto volveré con más fuerza y energía.
— Evo Morales Ayma (@evoespueblo) 12 novembre 2019
"Soeurs et frères, je pars pour le Mexique, reconnaissant du soutien du gouvernement de ce peuple frère qui nous a donné l'asile pour prendre soin de nos vies. Cela me fait mal de quitter le pays pour des raisons politiques, mais je serai toujours avec vous. Bientôt, je reviendrai avec plus de force et d'énergie." déclare Evo Moralès sur Twitter.
Face aux violences commises contre les biens d'Evo Moralès (pillage et incendie de sa maison à Villa Victoria) des groupes de vandales putschistes ont cambriolé sa maison à Cochabamba.
Alors que l'armée et la police commence à massacrer les manifestant.e.s opposé.e.s au putsch (au moins deux morts), la sécurité du Président n'était plus assuré en Bolivie. Le pays se dirige vers une guerre civile.