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Evo Moralès salue la révolution cubaine et considère Fidel comme un libérateur

Nicolas Maury

Le Président de La République Evo MORALES a salué ce jeudi les 50 ans de la Révolution Cubaine, qualifiant Fidel CASTRO comme un libérateur des peuples du monde

Evo Moralès salue la révolution cubaine et considère Fidel comme un libérateur
« Il y a 50 ans, le peuple cubain s’est libéré de l’empire nord américain, ( USA ) , pour cette raison, CUBA, son peuple, et ses commandants sont le symbole de la libération des peuples du monde » , a affirmé le Chef de l’Etat dans ses déclarations à la presse.

Il a profité de l’opportunité de son contact avec les journalistes pour souhaiter au peuple bolivien que 2009 soit une année de succès, plus spécialement dans les secteurs les plus exposés de la Bolivie.

Ce jeudi 1° Janvier, CUBA célèbre cinq décades du triomphe de la révolution du peuple dirigé par Fidel CASTRO depuis Santiago de Cuba, la première ville libérée par les rebelles, dont le commandant annonça en 1959 le renversement du dictateur Fulgencio Batista.

MORALES exprima son respect et son admiration envers Fidel CASTRO, parce qu’il a montré au monde comment vivre dans la dignité, la souveraineté, et que c’est une lutte permanente contre l’empire nord américain.

« Une lutte pour la défense de l’égalité et des droits des peuples. Notre souhait, pour le futur de Cuba, est que soit levé le blocus économique imposé par les gouvernements des USA, et non par le peuple nord américain, » a-t-il conclus.

SOLIDARITE.

Le chef de l’Etat a reconnu que le blocus pèse sur Cuba, qui est le pays le plus solidaire du monde.

Devant la communauté internationale, il a souligné que la solidarité du peuple cubain aide au progrès de la révolution démocratique en Bolivie.

« Grâce à CUBA et au VENEZUELA,, on peut affirmer que la BOLIVIE est le troisième pays d’Amérique latine à avoir vaincu l’analphabétisme (….) ce qui signifie que quand nous unissons nos efforts, il devient possible d’accomplir des transformations sociales « , a-t-il ajouté.

Il a profité de ce moment pour réitérer aux USA sa demande de lever le blocus économique imposé à CUBA.

« J’en viens à conclure que en 50 ans de révolution à CUBA, un peuple, un pays, une nation, économiquement étranglée par l’impérialisme, est le pays le plus solidaire des peuples du monde ».

Morales AYMA rappela pour sa part que trois ans de présence au gouvernement lui ont appris à résoudre quelques problèmes provoqués par l’opposition.

Il a reconnu s’inspirer de CUBA pour poursuivre la révolution démocratique profonde, ainsi que pour la politique sociale et culturelle mise en application en Bolivie.

Traduit par Pedritorojo le 2/01/09 pour http://socio13.wordpress.com/


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