François Rebsamen, un social-libéral ministre du Travail, de l'emploi et du dialogue social
Perspective communiste
Cet ancien trotskiste (militant à la LCR entre 1970 et 1974) reconverti au social-libéralisme, actuel maire de Dijon et sénateur, vient d'être nommé ministre du Travail, de l'emploi et du dialogue social. Une nomination qui annonce des lendemains difficiles pour les salariés, les chômeurs, les syndicalistes, les retraités ...
En tant que sénateur il a voté TOUTES les lois antisociales du gouvernement Ayrault (retraite, ANI, TSCG ...), il a pris position contre les Roms pour soutenir Maneul valls et sa politique d'expulsion. Il c'est opposé à la fin du cumul des mandats (recevant ainsi le soutien de jean François Copé).
François Rebsamen adepte du compromis « à l’allemande »
Cette culture du compromis plutôt que de l’affrontement devrait s’appliquer au premier chef dans l’économique et le social à travers le pacte de responsabilité proposé par le président de la République qui fera « entrer la France de plain-pied dans le 21 ème siècle » affirme François Rebsamen. Que les salariés soient contre les politiques antisociales , contre les actions du patronats contre les salaires et l'emploi n'est pas important tant qu'un semblant de dialogue (avec l'appui des organisations réformistes comme la CFDT) permet de déboucher sur du moins disant social et encore plus de cadeaux au nom de la "compétitivité", « ce compromis est une chance historique. C’est l’opportunité pour la France de renouer durablement avec la croissance et de faire reculer le chômage en faisant le choix du dialogue social à tous les niveaux ».
François Rebsamen favorable a des alliances avec le centre
Depuis 2009, François Rebsamen exprime l'exigence de nouer des alliances avec le MoDem. Il se dit favorable à une alliance avec le MoDem, pour assurer un "Pacte unitaire de Progrès" initié avec notamment l'ex-leader du PCF Robert Hue et Christiane Taubira (PRG), pour rassembler "tous les républicains de progrès".
François Rebsamen un ministre du dialogue avec le MEDEF
François Rebsamen ministre du travail, de l'emploi et du dialogue social. C'est bien le même qui n'a jamais soutenu les salariés de Parker, TRW, Fournier, qui refusait d'accueillir les associations d'usagers du crédit municipal , et qui faisait ses risettes au MEDEF 21 pour les voeux 2014.
François Rebsamen adepte du compromis « à l’allemande »
Cette culture du compromis plutôt que de l’affrontement devrait s’appliquer au premier chef dans l’économique et le social à travers le pacte de responsabilité proposé par le président de la République qui fera « entrer la France de plain-pied dans le 21 ème siècle » affirme François Rebsamen. Que les salariés soient contre les politiques antisociales , contre les actions du patronats contre les salaires et l'emploi n'est pas important tant qu'un semblant de dialogue (avec l'appui des organisations réformistes comme la CFDT) permet de déboucher sur du moins disant social et encore plus de cadeaux au nom de la "compétitivité", « ce compromis est une chance historique. C’est l’opportunité pour la France de renouer durablement avec la croissance et de faire reculer le chômage en faisant le choix du dialogue social à tous les niveaux ».
François Rebsamen favorable a des alliances avec le centre
Depuis 2009, François Rebsamen exprime l'exigence de nouer des alliances avec le MoDem. Il se dit favorable à une alliance avec le MoDem, pour assurer un "Pacte unitaire de Progrès" initié avec notamment l'ex-leader du PCF Robert Hue et Christiane Taubira (PRG), pour rassembler "tous les républicains de progrès".
François Rebsamen un ministre du dialogue avec le MEDEF
François Rebsamen ministre du travail, de l'emploi et du dialogue social. C'est bien le même qui n'a jamais soutenu les salariés de Parker, TRW, Fournier, qui refusait d'accueillir les associations d'usagers du crédit municipal , et qui faisait ses risettes au MEDEF 21 pour les voeux 2014.
