Gilets Jaunes Nice : Emmanuel Macron suscite l'indignation du PCF
Perspective communiste
Emmanuel Macron a souhaité "un prompt rétablissement, et peut-être une forme de sagesse" à la militante d'Attac grièvement blessée lors d'une manifestation interdite à Nice, dans un entretien avec Nice-Matin publié lundi. Cette nouvelle sortie infâme a suscité l'indignation du PCF
"Quand on est fragile, qu'on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans des situations comme celle-ci", tout en soulignant que "cette dame n'a pas été en contact avec les forces de l’ordre".
Geneviève Legay, 73 ans, qui exerçait pacifiquement son droit constitutionnel de manifestation, est dans le coma.
"Le président de la République est à deux doigts d'expliquer qu'elle l'a bien cherché. Comment ose-t-il ?", s'est insurgé la tête de liste PCF pour les européennes Ian Brossat dans un tweet, tandis que le secrétaire national Fabien Roussel regrettait qu'"avec Macron, nos retraité-es sont tout juste bons à se taire et à accepter en silence de gagner moins, de travailler plus et plus longtemps".
Geneviève Legay, 73 ans, qui exerçait pacifiquement son droit constitutionnel de manifestation, est dans le coma.
Une dame de 73 ans se retrouve blessée à l'issue d'une manifestation.
— Ian Brossat (@IanBrossat) 25 mars 2019
Le Président de la République est à deux doigts d'expliquer qu'elle l'a bien cherché.
Comment ose-t-il ? #Macron #Nice pic.twitter.com/DFvLN9Pbfl
"Le président de la République est à deux doigts d'expliquer qu'elle l'a bien cherché. Comment ose-t-il ?", s'est insurgé la tête de liste PCF pour les européennes Ian Brossat dans un tweet, tandis que le secrétaire national Fabien Roussel regrettait qu'"avec Macron, nos retraité-es sont tout juste bons à se taire et à accepter en silence de gagner moins, de travailler plus et plus longtemps".
Avec #Macron, nos retraité-es sont tout juste bons à se taire et à accepter en silence de gagner moins, de travailler plus et plus longtemps. Stop à la violence !
— Fabien Roussel (@Fabien_Rssl) 25 mars 2019