Mme Papariga a également critiqué les partis de l'opposition, en les accusant de "ne pas avoir évoqué la violence patronale et la répression, de ne s'intéresser qu'aux urnes et de sous-estimer et craindre la classe ouvrière".

S'agissant des personnes cagoulées qui participent aux manifestations et créent des incidents, Mme Papariga a clairement déclaré qu'ils n'ont rien à voir avec la Gauche, mentionnant notamment que le gouvernement les utilise pour accroître la répression étatique et procéder ensuite à la prise de mesures extraordinaires.

En ce qui concerne la position du KKE face aux événements, Mme Papariga a indiqué que "commence à présent le combat réel et courageux contre la politique antipopulaire du gouvernement et les mesures qui s'annoncent. Cette lutte doit être conduite par les travailleurs, les agriculteurs, les étudiants, les femmes, les migrants, dans une direction unique, en posant des revendications, des objectifs, des idées et des valeurs".