Grève générale en Israël
Perspective communiste
Des centaines de milliers de personnes ont manifesté en Israël pour exiger un accord sur la libération des otages suite à la mort des six otages détenus par le Hamas à Gaza.
Le Parti Communiste d'Israël et le Hadash appellent à descendre dans les rues jusqu’à ce que Netanyahu signe un accord ou démissionne.
Article et traduction Nico Maury
La Histadrout, puissant syndicat ouvrier, a annoncé une grève générale. Il y a aujourd'hui des grèves partielles ou totales dans les écoles, dans les ports, dans les banques, dans les compagnies d'électricité, à la poste, dans les bureaux du gouvernement et des autorités locales, dans les compagnies de bus, dans les compagnies aériennes, dans les universités, dans de nombreux lycées, et dans le système de santé.
En réponse, le gouvernement a fait arrêter 34 manifestants hier soir et a sollicité une action urgente auprès de la justice pour faire interdire la grève générale au motif qu'elle serait "politique".
Dans la matinée, des manifestations spontanées ont eu lieu pour réclamer la libération des otages.
Le Hadash et le Parti Communiste d'Israël (MKI) appellent à la grève générale et à intensifier la lutte contre la guerre.
La mobilisation de la Histadrout est une étape positive, mais tardive selon les communistes israéliens. Les travailleurs confirment qu'ils veulent la fin des massacres, la libération des otages, des prisonniers palestiniens et la fin de la guerre.
Les communistes appellent les travailleurs, arabes et juifs, à faire grève jusqu'à la mise en œuvre d'un plan pour la fin de la guerre, la promotion d'un accord d'échange et le renversement du gouvernement fasciste.
L'arrêt des massacres, la fin de l'occupation et de l'établissement d'un État palestinien indépendant aux côtés de l'État d'Israël, est la seule voie possible pour une coexistence pacifique entre israéliens et palestiniens.
Netanyahu travaille depuis des mois pour contrecarrer cet accord et veut poursuivre la guerre pour mener une occupation à long terme de Gaza et ainsi empêcher toute perspective d’indépendance palestinienne. Les communistes appellent à descendre dans les rues jusqu’à ce que Netanyahu signe un accord ou démissionne.
En réponse, le gouvernement a fait arrêter 34 manifestants hier soir et a sollicité une action urgente auprès de la justice pour faire interdire la grève générale au motif qu'elle serait "politique".
Dans la matinée, des manifestations spontanées ont eu lieu pour réclamer la libération des otages.
Le Hadash et le Parti Communiste d'Israël (MKI) appellent à la grève générale et à intensifier la lutte contre la guerre.
La mobilisation de la Histadrout est une étape positive, mais tardive selon les communistes israéliens. Les travailleurs confirment qu'ils veulent la fin des massacres, la libération des otages, des prisonniers palestiniens et la fin de la guerre.
Les communistes appellent les travailleurs, arabes et juifs, à faire grève jusqu'à la mise en œuvre d'un plan pour la fin de la guerre, la promotion d'un accord d'échange et le renversement du gouvernement fasciste.
L'arrêt des massacres, la fin de l'occupation et de l'établissement d'un État palestinien indépendant aux côtés de l'État d'Israël, est la seule voie possible pour une coexistence pacifique entre israéliens et palestiniens.
Netanyahu travaille depuis des mois pour contrecarrer cet accord et veut poursuivre la guerre pour mener une occupation à long terme de Gaza et ainsi empêcher toute perspective d’indépendance palestinienne. Les communistes appellent à descendre dans les rues jusqu’à ce que Netanyahu signe un accord ou démissionne.
