Il n'y a pas que Cahuzac de voyou au PS : Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur, épinglée
Perspective communiste
La ministre de l'Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, directrice commerciale et membre du conseil d'administration de 1989 à 1995 au sein de l'entreprise iséroise Corys, aurait "privé certaines universités de fonds qui leur étaient destinés", selon le site d'information Atlantico
Un rapport d'expertise judiciaire ayant enquêté sur cette société, spécialisée dans la recherche et le développement de solutions pour la sûreté des centrales nucléaires et thermiques, a révélé en 1999 "que l'entreprise gonflait ses comptes et avait empoché de larges subventions destinées à des centres de recherche sans les reverser en totalité", écrit le site d'information.
Cette société aurait ainsi perçu 381.000 euros de la communauté européenne mais l'argent n'aurait jamais été reversé aux universités concernées.Par ailleurs, l'enquête révèle des comptes opaques de la société. L'entreprise a été créée par l'actuel député-maire PS de Grenoble Michel Destot. Geneviève Fioraso était également une élue de la ville. Un mélange entre public et privé qui lui a déjà été reproché.
En revanche, elle n'a pas été directement mise en cause dans cette affaire. C'est le successeur de Michel Destot à la tête de la société qui a été poursuivi pénalement et reconnu coupable pour "présentation de faux bilan" et condamné à une amende et à de la prison avec sursis.Pour le moment, la nouvelle ministre de l'Enseignement supérieur n'a pas commenté cette information.
Cette société aurait ainsi perçu 381.000 euros de la communauté européenne mais l'argent n'aurait jamais été reversé aux universités concernées.Par ailleurs, l'enquête révèle des comptes opaques de la société. L'entreprise a été créée par l'actuel député-maire PS de Grenoble Michel Destot. Geneviève Fioraso était également une élue de la ville. Un mélange entre public et privé qui lui a déjà été reproché.
En revanche, elle n'a pas été directement mise en cause dans cette affaire. C'est le successeur de Michel Destot à la tête de la société qui a été poursuivi pénalement et reconnu coupable pour "présentation de faux bilan" et condamné à une amende et à de la prison avec sursis.Pour le moment, la nouvelle ministre de l'Enseignement supérieur n'a pas commenté cette information.