Il n'y aura pas d'accord entre Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon
Perspective communiste
Après le Parti communiste français, qui a renoncé à présenter un candidat, après EELV, qui renonce aussi à présenté un candidat, les deux grands favoris de la présidentielle à gauche se présenteront séparément. De toute façon, n'étant ni Keynésien, ni social-démocrate, ni social-libéral, la présidentielle de 2017 est déjà de l'histoire ancienne pour moi
En discussion depuis plusieurs jours, tout espoir d'accord entre le PS et la France insoumise s'est éteint. Benoît Hamon a indiqué dimanche sur TF1 que lors de leur rencontre vendredi, Jean-Luc Mélenchon lui avait confirmé "qu'il serait candidat" à l'élection présidentielle, ce qui clôt le débat.
Benoît Hamon : "Je l'ai vu, il m'a confirmé ce que je savais, c'est qu'il sera candidat. Dont acte, la situation est maintenant claire". Ce dernier se tourne désormais "vers tous les Français de gauche", notamment ceux qui "peuvent avoir l'intention de voter Emmanuel Macron" ou "Jean-Luc Mélenchon".
Pour Jean-Luc Mélenchon : Dans une interview au quotidien Ouest France, il est "beaucoup trop tard" pour un rapprochement avec le candidat socialiste. "Nous sommes à soixante jours du premier tour. J'ai un programme, qui a été bouclé en novembre. Qui pourrait croire à un accord de coin de table sur les sujets qui nous séparent comme l'avenir de l'Union européenne ? Il s'agit de se préparer à gouverner un grand pays ! Pas d'un arrangement personnel !".
Benoît Hamon : "Je l'ai vu, il m'a confirmé ce que je savais, c'est qu'il sera candidat. Dont acte, la situation est maintenant claire". Ce dernier se tourne désormais "vers tous les Français de gauche", notamment ceux qui "peuvent avoir l'intention de voter Emmanuel Macron" ou "Jean-Luc Mélenchon".
Pour Jean-Luc Mélenchon : Dans une interview au quotidien Ouest France, il est "beaucoup trop tard" pour un rapprochement avec le candidat socialiste. "Nous sommes à soixante jours du premier tour. J'ai un programme, qui a été bouclé en novembre. Qui pourrait croire à un accord de coin de table sur les sujets qui nous séparent comme l'avenir de l'Union européenne ? Il s'agit de se préparer à gouverner un grand pays ! Pas d'un arrangement personnel !".