Il y a 20 ans, les Etats-Unis ouvraient le camp de concentration de Guantanamo
Perspective communiste
Les champions des "droits de l'homme", des sanctions internationales, unilatérales et illégales, fêtent les 20 ans de l'ouverture du camp de concentration de Guantanamo.
Dans cette prison des Etats-Unis, installée en territoire occupé à Cuba, plus de 700 prisonniers ont été torturés, enfermés, sans aucune forme de procès.
Article et traduction Nico Maury
"Il y a déjà 20 ans que des exactions scandaleuses sont commises sur le territoire cubain occupé illégalement à Guantanamo Bay par les plus grands violeurs des droits de l'homme au monde" commente le Premier secrétaire du Comité central du Parti communiste cubain et Président de la République Diaz-Canel Bermúdez.
Le 11 janvier 2002, la base navale étasunienne de Guantanamo inaugure une prison devenue le un symbole de l'absence systématique de droit où règne la torture.
Les experts de l'ONU ont rappelé que la prison de Guantanamo a abrité plus de 700 détenus et, qu'aujourd'hui, il y a encore 39 détenus, dont seulement neuf ont été inculpés ou reconnus coupables de quelque crime que ce soit.
L'ONU décrit "Guantanamo comme un lieu d'arbitraire et d'abus". Elle exige qu'une enquête soit menée sur les abus juridiques commis là-bas, où les détenus risquent de mourir en raison de la détérioration rapide de leur santé. en raison des conditions cruelles et inhumaines d'incarcération.
Le 11 janvier 2002, la base navale étasunienne de Guantanamo inaugure une prison devenue le un symbole de l'absence systématique de droit où règne la torture.
Les experts de l'ONU ont rappelé que la prison de Guantanamo a abrité plus de 700 détenus et, qu'aujourd'hui, il y a encore 39 détenus, dont seulement neuf ont été inculpés ou reconnus coupables de quelque crime que ce soit.
L'ONU décrit "Guantanamo comme un lieu d'arbitraire et d'abus". Elle exige qu'une enquête soit menée sur les abus juridiques commis là-bas, où les détenus risquent de mourir en raison de la détérioration rapide de leur santé. en raison des conditions cruelles et inhumaines d'incarcération.