Inde : Les communistes en ordre de bataille pour l'Assemblée législative de Delhi
Perspective communiste
Les quatre principaux partis de gauche en inde - Le Parti communiste d'Inde (CPI), Parti communiste d'Inde marxiste (CPIM), le All India Forward Bloc et le Parti socialiste révolutionnaire (RSP) - ont décidé de se présenter unis dans 27 circonscriptions de l'Assemblée législative de Delhi - article et traduction Nico Maury
Le front uni présentera des candidats dans 27 sièges de la capitale et la plus grande partie de ces sièges seront réservé au CPI (Parti communiste d'Inde) qui sera présent dans 21 circonscriptions tandis que le CPIM sera présent dans quatre circonscription. Les deux autres partis se disputeront une circonscription chacun.
Le professeur Dinesh Varshney , secrétaire adjoint du CPI pour l'Etat de Delhi , a déclaré l'un des axes programmatique du front est d'assurer que toute personne travaillant dans la capitale soient payés un minimum de 10.000 roupies (117,87€).
"La flambée des taux d'inflation, l'augmentation des prix de tous les produits fondamentaux et services essentiels, tels que l'énergie et l'eau sont hors de portée pour le commun des mortels. La subsistance dans la ville est devenue difficile et le modèle de croissance économique porté par les des deux grands partis (Indian Congress et BJP) est profondément erronée et peu créateur d'emplois" déclare M. Varshney .
L'Indian Congress, le Bharatiya Janata Party et la plupart des autres partis cherchent à dépolitiser les habitants de Delhi et d'utiliser leur manque de sensibilisation à leur propre avantage. Sur la crise de l'eau et l'énergie , le BJP veulent réduire les tarifs en proposant une offre diversifée. Pour les communistes indiens, ces propositions sont irréalistes car elles ne résolvent pas le principal problème : le pouvoir d'achat des habitants de la capitale.
Le Front, conduit par le CPI, entend surfer sur la contestation populaire massive contre l'Indian Congress et le BJP. Il faut rappeler que l'Inde a connue une grave crise d'inflation que l'on a symboliquement appelé "crise de l'oignon" ( voir ici)
Le professeur Dinesh Varshney , secrétaire adjoint du CPI pour l'Etat de Delhi , a déclaré l'un des axes programmatique du front est d'assurer que toute personne travaillant dans la capitale soient payés un minimum de 10.000 roupies (117,87€).
"La flambée des taux d'inflation, l'augmentation des prix de tous les produits fondamentaux et services essentiels, tels que l'énergie et l'eau sont hors de portée pour le commun des mortels. La subsistance dans la ville est devenue difficile et le modèle de croissance économique porté par les des deux grands partis (Indian Congress et BJP) est profondément erronée et peu créateur d'emplois" déclare M. Varshney .
L'Indian Congress, le Bharatiya Janata Party et la plupart des autres partis cherchent à dépolitiser les habitants de Delhi et d'utiliser leur manque de sensibilisation à leur propre avantage. Sur la crise de l'eau et l'énergie , le BJP veulent réduire les tarifs en proposant une offre diversifée. Pour les communistes indiens, ces propositions sont irréalistes car elles ne résolvent pas le principal problème : le pouvoir d'achat des habitants de la capitale.
Le Front, conduit par le CPI, entend surfer sur la contestation populaire massive contre l'Indian Congress et le BJP. Il faut rappeler que l'Inde a connue une grave crise d'inflation que l'on a symboliquement appelé "crise de l'oignon" ( voir ici)