Israël retournera aux urnes le 2 mars 2020
Perspective communiste
Le Parlement israélien (Knesset) a approuvé le projet de loi pour dissoudre et tenir les élections législatives le 2 mars 2020. Ces élections seront les troisièmes organisées en moins d'un an - article et traduction Nico Maury
Le Knesset (parlement israélien) a réussi à trouver un accord, non pas pour gouverner, mais pour se dissoudre.
Israël traverse actuellement une incertitude politique à la suite des trois accusations de fraude et de corruption déposées le mois dernier par le procureur général contre Benjamin Netanyahu, et parce que l'opposition de centre-gauche rejette les offres du président conservateur pour forger un grande coalition.
Il s'agit des la troisièmes tentative pour obtenir une majorité, en avril 2019, Netanyahu, chef du parti Likoud, n'avait pas réussi à former une coalition. Aux élections de septembre, son rival, Benny Gantz, n'a pas non plus remporté la majorité des voix.
Pour le Hadash, la Liste unifiée doit "d'accroître son influence, son soutien aux groupes luttant contre la discrimination et le racisme, notamment les immigrants éthiopiens, les personnes handicapées, les LGBT et Mizrahim".
"Nous obtiendrons 15 sièges à la Knesset, au grand damne des racistes", a déclaré le député communiste Ayman Odeh (Hadash).
Des militant.e.s (assez connus) du Meretz appellent à un front commun avec la Liste unifiée, pour "exiger une coopération Juifs - Arabes pour mettre fin à l'occupation de la Palestine et pour une paix juste, pour élargir l'espace démocratique et construire une société juste en Israël". Avec une liste unie, rassemblant les communistes (Hadash), les partis arabes-israéliens et la gauche sociale-démocrate, pourrait créer un véritable tremblement de terre politique.
Israël traverse actuellement une incertitude politique à la suite des trois accusations de fraude et de corruption déposées le mois dernier par le procureur général contre Benjamin Netanyahu, et parce que l'opposition de centre-gauche rejette les offres du président conservateur pour forger un grande coalition.
Il s'agit des la troisièmes tentative pour obtenir une majorité, en avril 2019, Netanyahu, chef du parti Likoud, n'avait pas réussi à former une coalition. Aux élections de septembre, son rival, Benny Gantz, n'a pas non plus remporté la majorité des voix.
Pour le Hadash, la Liste unifiée doit "d'accroître son influence, son soutien aux groupes luttant contre la discrimination et le racisme, notamment les immigrants éthiopiens, les personnes handicapées, les LGBT et Mizrahim".
"Nous obtiendrons 15 sièges à la Knesset, au grand damne des racistes", a déclaré le député communiste Ayman Odeh (Hadash).
Des militant.e.s (assez connus) du Meretz appellent à un front commun avec la Liste unifiée, pour "exiger une coopération Juifs - Arabes pour mettre fin à l'occupation de la Palestine et pour une paix juste, pour élargir l'espace démocratique et construire une société juste en Israël". Avec une liste unie, rassemblant les communistes (Hadash), les partis arabes-israéliens et la gauche sociale-démocrate, pourrait créer un véritable tremblement de terre politique.