Japon : 100% des candidats communistes (JCP) élus lors d'élections municipales
Perspective communiste
Des élections municipales se déroulaient dans 7 villes japonaises, le Parti communiste japonais présentait 8 candidats (pour 7 élus sortants) et tous ont été élus ou réélus à l'issue de ces élections - article et traduction Nico Maury
Les communistes renforcés au sein du Conseil municipal de Kashihara (Préfecture Nara Kashihara)
Dans la seconde ville de la préfecture, Kashihara (121.000 habitants), les communistes japonais renforcent leur présence avec 3 conseillers municipaux élus (+1). Malgré une participation faible (43,14%), le parti Libéral-démocrate remporte 7 élus (+5) et son allié, le Komeito, 4 sièges (=).
L'opposition avec le Parti démocrate-progressiste remporte 2 sièges et les communistes 3 avec Mamoru Takemori, Masakatsu Nishikawa et Takaaki Imanishi.
Le parti de la Restuaration Meiji remporte 1 siège et les indépendants conservent leurs 7 élus.
Les communistes conservent leur élu à Imabari (préfecture d'Ehime)
Il n'y avait qu'une candidate communiste, Sumiko Matsuda, en lice pour renouveler les 32 sièges du Conseil municipal d'Imabari, deuxième plus grande ville de la préfecture avec ses 168 358 habitants.
A l'issue des élections, Le Parti libéral-démocrate remporte 5 élus, le Komeito 3, le Parti communiste japonais 1, les sociaux-démocrates 1, et les indépendants remportent les 22 sièges restant.
Les communistes conservent leurs 2 élus à Gotō ( Préfecture de Nagasaki)
Dans cette ville de 40.000 habitants de la Préfecture de Nagasaki, le Parti communiste japonais conserve ses deux élus municipaux. Le LDP arrive en tête avec 7 élus, son allié du Komeito remporte 1 élu, et le Parti démocrate-progressiste 1 élu. Les 9 autres sièges ont été remporté par des indépendants.
Mikawa et Ōzu conservent leurs élus communistes
Dans la petite ville de Mikawa ( préfecture de Yamagata au nord de l'île de Honshū - 7800 habitants), le Parti communiste conserve son élu municipal, Akira Tanaka, qui siégera avec 9 élus indépendants.
Dans la ville de Ōzu (préfecture de Kumamoto - 33.000 habitants), le communiste Toshihiko Araki a été élu. Le JCP ne présentait qu'un candidat pour les 18 sièges du Conseil municipal. Parmi les partis politique, seul le Komeito obtient un élu, les autres sont des "indépendants".
Dans la seconde ville de la préfecture, Kashihara (121.000 habitants), les communistes japonais renforcent leur présence avec 3 conseillers municipaux élus (+1). Malgré une participation faible (43,14%), le parti Libéral-démocrate remporte 7 élus (+5) et son allié, le Komeito, 4 sièges (=).
L'opposition avec le Parti démocrate-progressiste remporte 2 sièges et les communistes 3 avec Mamoru Takemori, Masakatsu Nishikawa et Takaaki Imanishi.
Le parti de la Restuaration Meiji remporte 1 siège et les indépendants conservent leurs 7 élus.
Les communistes conservent leur élu à Imabari (préfecture d'Ehime)
Il n'y avait qu'une candidate communiste, Sumiko Matsuda, en lice pour renouveler les 32 sièges du Conseil municipal d'Imabari, deuxième plus grande ville de la préfecture avec ses 168 358 habitants.
A l'issue des élections, Le Parti libéral-démocrate remporte 5 élus, le Komeito 3, le Parti communiste japonais 1, les sociaux-démocrates 1, et les indépendants remportent les 22 sièges restant.
Les communistes conservent leurs 2 élus à Gotō ( Préfecture de Nagasaki)
Dans cette ville de 40.000 habitants de la Préfecture de Nagasaki, le Parti communiste japonais conserve ses deux élus municipaux. Le LDP arrive en tête avec 7 élus, son allié du Komeito remporte 1 élu, et le Parti démocrate-progressiste 1 élu. Les 9 autres sièges ont été remporté par des indépendants.
Mikawa et Ōzu conservent leurs élus communistes
Dans la petite ville de Mikawa ( préfecture de Yamagata au nord de l'île de Honshū - 7800 habitants), le Parti communiste conserve son élu municipal, Akira Tanaka, qui siégera avec 9 élus indépendants.
Dans la ville de Ōzu (préfecture de Kumamoto - 33.000 habitants), le communiste Toshihiko Araki a été élu. Le JCP ne présentait qu'un candidat pour les 18 sièges du Conseil municipal. Parmi les partis politique, seul le Komeito obtient un élu, les autres sont des "indépendants".