L'Equateur en grève insurrectionnelle contre le "paquet" économique de Lenín Moreno
Perspective communiste
L'agenda néolibéral de Lenín Moreno vient de déclencher une immense mobilisation populaire et sociale en Equateur. L'état d'urgence est mis en place pour faire face aux mobilisations, mais a cette heure les manifestant.e.s marchent vers Carondelet, le palais du gouvernement. Le président a quitté la capitale - article et traduction Nico Maury
Le Président de l’Equateur, Lenín Moreno, a décrété, jeudi 3 octobre, l’état d’urgence dans tout le pays, paralysé par des grèves et des blocages.
Les manifestant.e.s se sont mobilisés contre un choc néolibéral qui vise à :
- Hausse du prix du carburant de plus de 100 %,
- Augmenter le prix des biens et des services,
- Réduction des congés payés de 30 à 15 jours
- Prélèvement d'un mois de salaire aux agents du public.
- Baisse de 20% du salaire est annoncé pour les employé.e.s
- Privatisations
- Baisse des cotisations retraite pour réduire les pensions.
Ces réformes ont été imposées par le Fond Monétaire International (FMI) en échange d'une aide de 4 milliards de dollars.
Les premiers à se mobiliser sont les transporteurs routiers, De même que, les enseignant.e.s, les étudiant.e.s et les organisations syndicales, et amérindiennes qui rejettent le "paquet économique" ont été ajoutés à la journée de mobilisation.
Selon des informations parues sur les réseaux sociaux, les manifestant.e.s à Quito marchent vers b[Carondelet, le palais du gouvernement.
Les manifestant.e.s se sont mobilisés contre un choc néolibéral qui vise à :
- Hausse du prix du carburant de plus de 100 %,
- Augmenter le prix des biens et des services,
- Réduction des congés payés de 30 à 15 jours
- Prélèvement d'un mois de salaire aux agents du public.
- Baisse de 20% du salaire est annoncé pour les employé.e.s
- Privatisations
- Baisse des cotisations retraite pour réduire les pensions.
Ces réformes ont été imposées par le Fond Monétaire International (FMI) en échange d'une aide de 4 milliards de dollars.
Les premiers à se mobiliser sont les transporteurs routiers, De même que, les enseignant.e.s, les étudiant.e.s et les organisations syndicales, et amérindiennes qui rejettent le "paquet économique" ont été ajoutés à la journée de mobilisation.
Selon des informations parues sur les réseaux sociaux, les manifestant.e.s à Quito marchent vers b[Carondelet, le palais du gouvernement.