Perspective communiste
Les putschistes menées par Jeanine Áñez ont commis des atrocités contre la population, des assassinats, des tortures, des mauvais traitements et des détentions arbitraires.
Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme condamne le régime putschiste.
Traduction Nico Maury
L'entité onusienne a publié son rapport sur les violations des droits humains commises entre le 20 octobre et le 25 novembre 2019, alors que le gouvernement putschiste entre dans la dernière période précédant les prochaines élections.
La publication intervient presque dix mois après le coup d'état présidé par Jeanine Áñez.
🇧🇴 #Bolivia: UN Human Rights Chief welcomes recent agreement paving the way for general elections to proceed on 18 October. @mbachelet urges structural changes and reforms to prevent crises and for the benefit of all Bolivians. Learn more: https://t.co/7nda4o8Y8q pic.twitter.com/hODaM6QONS
— UN Human Rights (@UNHumanRights) August 24, 2020
#BOLIVIA Graves violaciones a los DDHH ocurrieron, grandes transformaciones deben ocurrir:
— OACNUDH Bolivia (@Oacnudh_BO) August 24, 2020
🔹 Informe sobre la situación de DDHH con posterioridad a las Elecciones del 20 de octubre de 2019 🔹
Lee la nota 👉 https://t.co/WmfJWpjd4S
Ingresa al Informe 👉 https://t.co/qmtaKTISqy pic.twitter.com/BaxvCXm5FM
Depuis novembre 2019, le personnel du Bureau des droits de l'Homme en Bolivie a été déployé pour recueillir des informations de première main et a compilé plus de 150 entretiens avec des victimes, des témoins, des représentants-représentantes de la société civile et des autorités.
Les violations des droits de l'Homme documentées comprennent des assassinats, des tortures, des mauvais traitements et des détentions arbitraires, dans ce contexte, environ 30 personnes sont mortes lors de manifestations entre le 20 octobre et le 25 novembre, et au moins 20 par des opérations de la police et des forces armées.
Parmi les incidents les plus graves figurent le meurtre de neuf personnes lors des manifestations à Sacaba (Cochabamba) et de 10 manifestants-manifestantes à Senkata (El Alto-La Paz). L'ONU déplore l'impunité totale des auteurs des massacres.
Telesur