"L'UMP va-t-elle passer la semaine?" ironise le PCF
Nicolas Maury
Le Parti Communiste Français (PCF) a ironisé mardi dans un communiqué sur le climat de crise à l'UMP dans le débat sur la laïcité, lançant: "L'UMP va-t-elle passer la semaine?"
"La majorité présidentielle est en lambeaux. Le porte-parole du gouvernement François Baroin fait entendre sa différence, le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, tacle sévèrement le Premier ministre (François) Fillon. Jean-Louis Borloo l'ex +premier ministrable+ est, lui, prêt à quitter le navire", affirme ainsi le PCF.
"Décidément, pour un lendemain d'élection locale annoncée comme non significative pour le gouvernement, que de conséquences... L'UMP va-t-elle passer la semaine?", interroge Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF.
"Le jeu dangereux auquel Nicolas Sarkozy s'est risqué, qui consistait à banaliser le Front national, a fini par se retourner contre lui. L'effet est dévastateur : l'abstention historique montre à quel point les dégâts commis par cette droite contre le pays sont grands. La majorité présidentielle est définitivement décrédibilisée", affirme-t-il.
"Fort des bons résultats du Front de Gauche, nous sommes déterminés, plus que jamais, à construire une alternative à gauche capable de redonner espoir au pays. Le temps est compté", assure le PCF.
"Décidément, pour un lendemain d'élection locale annoncée comme non significative pour le gouvernement, que de conséquences... L'UMP va-t-elle passer la semaine?", interroge Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF.
"Le jeu dangereux auquel Nicolas Sarkozy s'est risqué, qui consistait à banaliser le Front national, a fini par se retourner contre lui. L'effet est dévastateur : l'abstention historique montre à quel point les dégâts commis par cette droite contre le pays sont grands. La majorité présidentielle est définitivement décrédibilisée", affirme-t-il.
"Fort des bons résultats du Front de Gauche, nous sommes déterminés, plus que jamais, à construire une alternative à gauche capable de redonner espoir au pays. Le temps est compté", assure le PCF.