La Chambre des représentants d'Uruguay a salué les 100 ans du Parti communiste
Perspective communiste
La Chambre des représentant.e.s de l'Uruguay a tenu une session extraordinaire pour commémorer le centenaire du Parti Communiste d'Uruguay (PCU).
Toutes et tous ont salué l'engagement des communistes uruguayens pour la démocratie, sa contribution pour la défense des travailleurs-travailleuses et pour la justice sociale.
Article et traduction Nico Maury
Ce mardi, une session extraordinaire s'est tenue à la Chambre des représentant.e.s pour commémorer les 100 ans du Parti communiste.
Lors de cette session extraordinaire, le député Ubaldo Aita et la députée Ana Olivera, tous deux membres du Parti communiste, ont pris la parole. Les deux élus ont vanté le système démocratique fort, et mature.
Aita a souligné que "ces 100 ans appartiennent aux militant.e.s qui construisent le chemin que le parti parcourt au jour le jour", défendant toujours les principes établis tout au long de l'histoire, croyant toujours en la démocratie et pariant sur un avenir de liberté. et une justice sociale constante.
De son côté, Ana Olivera, a évoqué le rôle des femmes et leur rôle de premier plan dans l'histoire du parti, mettant en avant en premier lieu la figure de Julia Arévalo, "une travailleuse, qui depuis l'âge de dix ans, est une combattante pour les causes sociales et politiques". Olivera a rappelé qu'Arévalo avait promu plusieurs lois en faveur des femmes rurales et combattu la dictature de Terra et la dictature militaire.
Dans la figure de Julia Arévalo, la députée Ana Olivera a rendu hommage à toutes les femmes communistes, à leur contribution à la société et à la lutte constante pour l'égalité et la justice sociale.
La majorité gouvernementale (droite) a salué le rôle et l'histoire du PCU
Le Parti national, le Parti Colorado ont lu des déclarations dans lesqelles ils saluent le Parti communiste et expriment leur reconnaissance aux aux communistes uruguayens.
Iván Posada, au nom du Parti indépendant, a reconnu "l’engagement démocratique que le Parti communiste a eu, en particulier à l’époque où le système démocratique est remis en question", en ce sens, il a exprimé son salut fraternel au nom de son parti.
Seul le parti Cabildo Abierto (extrême droite) a refusé de s'associer à l'hommage. Le Parti national a dénoncé son partenaire de coalition et a condamné "un manque incroyable de républicanisme".
Lors de cette session extraordinaire, le député Ubaldo Aita et la députée Ana Olivera, tous deux membres du Parti communiste, ont pris la parole. Les deux élus ont vanté le système démocratique fort, et mature.
Aita a souligné que "ces 100 ans appartiennent aux militant.e.s qui construisent le chemin que le parti parcourt au jour le jour", défendant toujours les principes établis tout au long de l'histoire, croyant toujours en la démocratie et pariant sur un avenir de liberté. et une justice sociale constante.
De son côté, Ana Olivera, a évoqué le rôle des femmes et leur rôle de premier plan dans l'histoire du parti, mettant en avant en premier lieu la figure de Julia Arévalo, "une travailleuse, qui depuis l'âge de dix ans, est une combattante pour les causes sociales et politiques". Olivera a rappelé qu'Arévalo avait promu plusieurs lois en faveur des femmes rurales et combattu la dictature de Terra et la dictature militaire.
Dans la figure de Julia Arévalo, la députée Ana Olivera a rendu hommage à toutes les femmes communistes, à leur contribution à la société et à la lutte constante pour l'égalité et la justice sociale.
La majorité gouvernementale (droite) a salué le rôle et l'histoire du PCU
Le Parti national, le Parti Colorado ont lu des déclarations dans lesqelles ils saluent le Parti communiste et expriment leur reconnaissance aux aux communistes uruguayens.
Iván Posada, au nom du Parti indépendant, a reconnu "l’engagement démocratique que le Parti communiste a eu, en particulier à l’époque où le système démocratique est remis en question", en ce sens, il a exprimé son salut fraternel au nom de son parti.
Seul le parti Cabildo Abierto (extrême droite) a refusé de s'associer à l'hommage. Le Parti national a dénoncé son partenaire de coalition et a condamné "un manque incroyable de républicanisme".