La droite (PP-C's) et l'extrême droite (VOX) s'unissent pour diriger l'Andalousie
Perspective communiste
Le Parti Populaire (droite conservatrice et réactionnaire) a signé deux accords pour diriger la "Junta", l’exécutif du Parlement d'Andalousie. Un premier accord avec Ciudadanos (droite extrême) et avec VOX (néo-franciste) - article et traduction Nico Maury
L'Andalousie sera dirigée par une coalition de droite-extrême droite avec Juan Manuel Moreno (PP) à sa tête.
Pour rallier les 21 député.e.s de Ciudadanos et les 12 fascistes de Vox, le Parti Populaire a signé deux accords de coalition.
Le premier avec le parti d'Albert Rivera et Ines Arrimadas (Ciudadanos) portant sur 20 points pour 100 jours d'actions.
Le second avec VOX, avec un pacte en 34 points qui promeut le maintient en l'état de la Loi mémoriel, l'éducation privée, projette une vision réactionnaire et patriarcale de la femme et de la famille. L'extrême droite et ses idées sont ainsi propulsées en avant. VOX a renoncé à ses propositions anti-LGBT et anti-migrant.e.s (expulsion de 52 000 immigrant.e.s) pour permettre l'élection de Juan Manuel Moreno (PP).
Pris de court, le PSOE a fait appel au gouvernement central et au Tribunal constitutionnel pour censurer des points entiers des pactes. Mais Pedro Sanchez risque d'être dépassé, il est lui même en difficulté face à une absence de majorité pour faire voter son budget.
Pour rallier les 21 député.e.s de Ciudadanos et les 12 fascistes de Vox, le Parti Populaire a signé deux accords de coalition.
Le premier avec le parti d'Albert Rivera et Ines Arrimadas (Ciudadanos) portant sur 20 points pour 100 jours d'actions.
Le second avec VOX, avec un pacte en 34 points qui promeut le maintient en l'état de la Loi mémoriel, l'éducation privée, projette une vision réactionnaire et patriarcale de la femme et de la famille. L'extrême droite et ses idées sont ainsi propulsées en avant. VOX a renoncé à ses propositions anti-LGBT et anti-migrant.e.s (expulsion de 52 000 immigrant.e.s) pour permettre l'élection de Juan Manuel Moreno (PP).
Pris de court, le PSOE a fait appel au gouvernement central et au Tribunal constitutionnel pour censurer des points entiers des pactes. Mais Pedro Sanchez risque d'être dépassé, il est lui même en difficulté face à une absence de majorité pour faire voter son budget.
